1. Beau-papa et Co - Chapitre 3 : À quatre, on prend notre pied.


    Datte: 23/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Charime, Source: Hds

    ... comprends. Alors, après, comme c’était un club fétichiste, il a fallu improviser. Je l’ai dénudé, attaché et baiser comme une truie. Il a joui et jouit jusqu’à éjaculer un peu de sang. Il n’en pouvait plus. Ensuite, le laissant dans mes cordes, solidement suspendu, j’ai attaché quelques femmes que je posais devant sa bouche à ce vicieux homme. Il les a toutes léchées et faites jouir. Fallait voir ces gens dans la salle, on a fait un tabac, ça baisait de partout. Une fois libre, Christian n’a eu qu’une seule phrase, fallait qu’on recommence et on a recommencer dans ce même club sauf que cette fois, c’est lui qui m’a attaché et baisé de partout. Ce pervers a même permis à quelques hommes de me baiser et j’ai aimé ça. Il m’a aussi coulé de la cire brulante un peu partout, surtout sur mon sexe, ma langue, mes seins. J’ai joui comme jamais je n’avais joui. Si, avec une autre personne, toi dans les toilettes.
    
    - Alors il avait raison quand il me comparait à toi, on se ressemble toutes les deux. Oui, enfile ta main, toute ta main, mon cul adore ça, ma japonaise d’amour.
    
    - Comme le mien, salope d’européenne.
    
    J’ai joui de sa main allant et venant dans mon fion de salope. Il nous a cependant fallu arrêter sous peine de ne pouvoir aller plus loin. On a roulé jusqu’à une aire d’autoroute pour y prendre de quoi nous remettre sur pied. Nos tenues n’ont laissé personne indifférente, personne.
    
    Enfin, chez Christian, j’entraine Mariko sous la douche italienne pour une douche ...
    ... saphique. Nous nous épuisons dans de sublimes orgasmes quand nos hommes nous découvrent vidées de toute force. Et pourtant, en les voyant bander comme ça, on n’a pas pu résister, toutes les deux. Oui mais voilà, elle connait son homme, pas le mien, le fils. Le clin d’œil échangé, on a échangé nos hommes et en avant la musique et plein pot. Ils nous ont baisés, enculés et ont recommencés jusqu’à se retrouver dans le même état que nous, raide, sans plus aucune force. Sur le grand futon, sans même se serrer, nous avions toute la place. Mais en se serrant les uns contre les autres, les femmes au milieu, c’est encore meilleur. Oui, Mariko est une femme que je ne peux qu’aimer et je la sais déjà amoureuse de moi. Il ne nous aura fallu que quelques heures pour nous connaitre davantage et même en profondeur.
    
    Dès le lendemain, toutes les deux, nous vidons les valises, je ne vous dis même pas dans quel état je suis. Mariko commence par la noire, celle dont je ne sais rien de rien. Dedans, des cordes à foison, un martinet que Mariko essaie directement sur mon cul que je lui présente. Miam, la douleur me fait mouiller. Puis, elle essaie une longue cravache sur mes seins et j’aime ce que je sens en moi, sur moi. Je me venge sur elle, même force, même nombre et nous voilà encore plus sœur que jamais. Me vient une idée, faire de nous deux des sœurs de sang. Un petit couteau, une petite entaille sur nos majeurs, oui, c’est le doigt idéal pour l’enfoncer dans un cul. Nos doigts soudés, nous ...
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