Mon ascension sexuelle (4) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (4)

... l’aimer ! Lui dit Sophie.

— Mm mm.

*

Moins d’attente que tout à l’heure. Quelle ne fût pas ma surprise de voir entrer Karine. C’était réellement la femme la plus magnifique que j’ai vue de ma vie. Elle me regardait, les yeux légèrement plissés. Sans que je puisse dire le moindre mot, elle m’embrassa fougueusement.

— Hmm, pas mal, mais tu peux faire mieux.

Normal, après tout c’était la troisième fois que j’embrassais une femme, je ne pouvais pas être parfait. Karine s’est assise à côté de moi et m’a fait signe de m’approcher. Tout comme Stéphanie, j’explore toutes les parties de son corps, pour voir les plus sensibles. Après les avoir trouvées et stimulées, je me concentre sur elles pour faire monter le désir de Karine. Puis, je me suis mis à lui lécher la chatte. Je trouvais ça vraiment excitant. J’y prenais vraiment plus du plaisir, surtout après avoir léché Sophie. Je sentais moi-même que je m’étais amélioré.

— Mmm... mmm... Pas mal du tout. Je comprends pourquoi Sophie a joui. Vas-y, continue, j’adore, han...

Je lui ai montré alors ce que je savais faire, puis elle m’a interrompu.

— Maintenant, nous allons passer à des choses beaucoup plus sérieuses...

Sans tarder, Karine écarte les cuisses et prend ma bite en main pour l’introduire en elle. Quelques secondes plus tard, j’effectue les va-et-vient, lentement pour commencer. Je l’ai senti gémir, puis elle me prit de vitesse.

— C’est bon, mais accélère la cadence, ça sera meilleur.

J’écoute ...

... son conseil, bien que ce soit ce que je comptais faire et je commence à la pilonner plus rapidement. De façon mécanique d’abord, j’enchaîne les coups lents, puis rapides. Sa position, le buste et la tête relevés, les fesses touchent les coussins du canapé tandis que ses épaules touchent le haut. Son dos, lui, était dans le vide et me faisait dire qu’elle aimait ça.

— Ha, ha, oui, oui, c’est bon, ha... je sais comment améliorer le plaisir.

Elle retira ma bite, puis se plaça à quatre pattes sur le canapé. J’allais la baiser en levrette et cette position m’avait toujours excité. Alors qu’elle remuait son cul pour m’inviter à la pénétrer, je ne la fis pas languir plus longtemps, et continuai mon rythme de pilonnage. Je me sentais vraiment à l’aise en levrette que j’avais l’impression que ce n’était pas deuxième baise.

— Oui, oui, vas-y, continue comme ça ! Baise-moi bien ! Han, han...

Apparemment, j’étais bon. Cela m’encouragea à lui faire encore plus de bien. Ses cris, de plus en plus intenses, m’ont rempli d’une confiance que je croyais inexistante. Dans la foulée de notre rapport, réciproquement plus qu’agréable, je lui dégrafe son soutif, avant de me retirer puis de la retourner sur le dos.

— Ohhh, bien. J’aime les hommes qui prennent des initiatives.

J’ai observé ses seins, vraiment splendides pendant plusieurs secondes, avant de la pénétrer de nouveau. Puis, pendant que je la démontais, je lui malaxais la poitrine, car comme Stéphanie, elle y est également ...