Mon ascension sexuelle (4) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (4)

... que de lui caresser la cuisse, de façon mécanique, j’alterne entre ma paume et le dos de ma main, en l’effleurant d’avec mes ongles. Dans le même temps, je lui embrasse le cou, puis le corps en descendant jusqu’à son bas-ventre, puis je remonte progressivement vers sa poitrine.

À ce moment-là, je commence à entendre Stéphanie gémir un peu plus fort. Je pense alors qu’elle a été sensible à un de mes mouvements. Suivant mon instinct, je lui embrasse la poitrine tout en faisant des va-et-vient, de façon circulaire, de bas en haut avec ma main sur sa cuisse.

— Hmmm... pas mal, ça.

Gagné. J’ai trouvé ses zones les plus sensibles. Je me concentre alors sur cette combinaison pour faire monter son désir. Je remonte progressivement, en lui embrassant le corps, jusqu’à sa bouche, pour l’embrasser. Sans la moindre réticence, elle me rend mon baiser, puis sourit. Elle me faisait enfin confiance. Pour stimuler de nouveau ses zones, je lui embrasse les seins et tourne, autour de ses tétons, avec ma langue.

— Hmm... Oh oui... j’aime bien, ha...

En plus de ses paroles, je sens de légers tremblements dans son corps, signe qu’elle apprécie ce que je faisais. J’enlève ma main droite de sa cuisse, pour lui caresser le sein droit, tandis que je lui lèche le sein gauche. Lorsque je lui lèche un sein, ma main est placée sous mon menton et fait des va-et-vient sous son sein, pendant que je lui caresse l’autre avec l’autre main. Puis j’inverse les seins, afin de n’en négliger ...

... aucun.

Ensuite, j’arrête de me concentrer sur ses seins et lui caresse de nouveau la cuisse, comme tout à l’heure, en effleurant de plus en plus sa chatte, sans oublier de lui toucher ses autres zones.

— Oh, c’est bon, hmm,... han...

Je colle par la suite mon corps contre le sien, puis n’omets de m’occuper d’aucune partie de son corps.

— Hmm... ha... ha..., bon ça suffit.

— Alors, c’est terminé ? Et dire que je pensais avoir réussi.

— Non ce n’est pas ça. Si on continue, on va aller plus loin et ce n’est pas à moi que convient cette étape.

— Ça veut dire que... ?

— Oui, je te valide. Félicitations.

— Merci.

— Non, tu as fait du bon travail.

Stéphanie se dirige donc vers la porte, mais avant de sortir, jette un léger coup d’œil sur ma bite, en érection, puis sourit en se mordillant les lèvres.

*

— Eh bien ! En voilà une qui a l’air plutôt satisfaite, haha, dit Sophie d’un ton satisfait.

— Oui on peut dire ça, répondit Stéphanie.

— Alors qui avait raison ?

— Toutes les deux, en un sens ? Avec toi, il était stressé au début, puisqu’il ne l’avait fait qu’une fois. C’est comme s’il recommençait depuis le début. Et avec moi, puisque c’était plus récent, il était bon. Donc je confirme ma théorie, en disant que c’est inné.

— T’adores ça avoir le dernier mot, haha.

— Tu me connais.

— Bon les filles, vous avoir entendu parler, m’a donné envie d’y aller, dit Karine.

— Je comprends.

— Ah oui, au fait Karine ?! Je sens que tu vas bien ...