Mon ascension sexuelle (4) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (4)

Cela faisait maintenant quelques minutes que j’étais seul dans cette pièce, après le départ de Sophie. J’étais nu et je ne savais pas ce qui allait m’arriver. Je trouvais ça à la fois angoissant et terrifiant.

*

— Alors, comme ça s’est passé ?, demanda Karine.

— Eh bien, c’était difficile au début, mais ça a fini par bien se passer.

— Voilà qui est plaisant à entendre.

— Oui, ça va le faire avec lui.

— Vous en êtes vraiment sûr ?, répliqua Stéphanie.

— Qu’est-ce que tu veux dire ?, demanda Sophie.

— Vous savez que je considère le sexe comme une chose innée. Soit on est doué, soit on est mauvais. C’est ce que j’ai appris grâce à tous les mecs que nous avons éduqués. Et là, tu me sors qu’un type a réussi à faire les deux ? Je n’y crois pas !

— Je suis d’accord avec toi. Il est vrai que nous avons soit augmenté les conquêtes des hommes, soit nous avons augmenté leur fréquence de branlette. Mais crois-moi, ce mec-là est différent.

— Qu’est-ce qui te rend si sûr de toi ?

— Je lui ai posé un ultimatum.

— Je ne vois pas en quoi ça nous avance.

— Haha, vous savez que j’ai la voix qui porte n’est-ce pas ? Mais ces portes sont tellement bien insonorisées, que si j’avais joui, vous ne m’auriez pas entendu !

— Tu te fiches de moi ?!

— Voilà qui est intéressant, dit Karine.

— Bon très bien. Dans tous les cas, c’est à mon tour d’y aller. Je vais voir ce dont il est vraiment capable, dit Karine se dirigeant vers la pièce.

*

Alors que ...

... je ne pensais qu’elles ne reviendraient jamais, je vis Stéphanie entrer. Elle me regardait d’un air mécontent, et me fit signe de me lever. Elle s’est assise sur le canapé, jambes et bras croisés.

— Bon, alors écoute-moi bien gamin ! Tu as peut-être réussi à faire jouir Sophie, mais avec moi, ça ne sera pas aussi facile. Faire du bien à une femme, juste en lui caressant le corps, s’avère plus difficile que d’en faire jouir une en lui bouffant la chatte. Alors comment un petit puceau comme toi pourrait y arriver ?

— J’en ai aucune idée...

— Je m’en doutais. Bon alors, c’est term...

— Je veux dire que je le dois à Valérie.

— Hmm... ?

— Sans elle, je n’aurais jamais pensé coucher avec une femme. Et aujourd’hui, je me retrouve en compagnie de trois femmes magnifiques, qui tentent de faire de moi à bon amant. Pour la remercier, je me dois donc d’au moins d’essayer.

— Bien, je vois. Amène-toi alors, et voyons ce que tu vaux. Mais tâche d’être efficace.

Je m’approche alors de Stéphanie, dans l’espoir de réussir à lui faire du bien. Je commence par lui caresser la cuisse, tout en lui embrassant le cou. J’entends ensuite un très léger gémissement. Me croyant sur la bonne voie, je continue dans cette veine.

— Tu crois que te concentrer sur une seule zone est suffisant. Tu es bien naïf.

Je comprends alors que derrière ce reproche se cache un conseil. Pendant que je continue à la caresser, je me remémore les conseils de Valérie sur les zones érogènes. Plutôt ...