Divine compagnie (3)
Datte: 17/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... l’autre, plongeant même sa langue dans le cul d’Agate. Devant Caroline et en regardant Alexia se faire trousser par son père, je me mets à regarder ce père incestueux.
— Tu sais mon gars, ma fille, je te la donne. Seulement, j’y mets une condition, que vous veniez aussi souvent que possible chez nous.
— Pour moi, ça ne pose aucun problème. Il faut voir avec Alexia et ta fille.
— Oh elles, elles ne vont plus rien te refuser à l’avenir. Surtout que ta belle Alexia semble vouloir goûter à mon chien. N’est-ce pas ma jolie ?
— Ben, peut-être que oui, après tout. Il semble si bien éduqué.
— Ah pour ça, il a reçu la meilleure éducation. Il provient d’un chenil dans l’Ain. Pas très loin de la Suisse. Ce sont des amis qui m’ont filé l’adresse. La patronne du chenil adore se faire mettre quotidiennement par cinq ou six clebs à la fois. Elle et son mari les éduquent pour baiser des salopes comme ma sœur et ma femme. Oh oui, Caroline, depuis la semaine dernière, ta tante vit avec nous. Elle est devenue ma seconde soumise après ta mère.
— Et tu me voudrais bien parmi ton cheptel je suppose ?
— Ma foi, tu me connais, je ne dis jamais non. Mais bon, faut voir avec ton homme. Parce qu’il me semble bien que si t’es pas sa ...
... soumise, t’en prends le chemin, ma sale gamine.
— Ben pour tout te dire, l’idée fait son chemin. Et pis telle mère, telle fille, hein papa !
— T’es bien comme ta mère et ma frangine, une bonne petite salope qu’on ne peut qu’adorer. Bon, vu qu’on est sur la même longueur d’ondes, c’est à ton homme que je vais parler sérieusement. Mon gars, t’as vu ma bicoque, ça te dirait de venir crécher chez nous ? Oh et pis, tu fais quoi dans la vie, à part troncher ma fille et cette beauté ?
— Je suis architecte spécialisé dans les chalets en bois. Sinon, vivre chez toi, ouais, pourquoi pas. Faut juste voir pour ton loyer ?
— Rien, pas un rond si tu m’autorises à baiser tes deux petites et que tu me files un coup de main pour développer mon affaire.
— Ta fille et Alexia, et te dessiner des meubles ? Mouais, ça me parait plus que correct. À les voir, ça n’a pas l’air de les déranger, s’pas les filles ?
— Quoi, emménager ici ? Je suis partante, mon chéri, approuve mon Alexia.
Et Caroline de jouir en un très long « ouiiiiiiiiii, moiiiiiiii aussiiiiiiiiiii. »
L’après-midi se passe, sans que nous baisions comme des porcs. C’est plus calme. Est venu le soir, ni Alexia, encore moins Caroline et moi, n’avions envie de rentrer.