1. Divine compagnie (3)


    Datte: 17/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... m’attire sur un canapé et s’y laisse tomber en m’emportant. Très vite, je suis en elle et je lui fais l’amour tendrement. Cela ne dure pas. Elle me voulait, mais version sauvage, comme Caroline le lui avait raconté devant la maison. Je m’exécute en me faisant plus sauvage encore que je ne l’avais été. Martine devait aimer se faire rudoyer, je ne me fais pas brutal, juste très sauvage. Je la retourne et m’enfonce dans sa chatte détrempée. Je me mets aussi à fesser son superbe gros cul. Gros oui, mais putain ce qu’il était ferme. Alexia, la table mise, est près de nous, caressant les lourdes mamelles de cette femme excitante.
    
    Derrière nous, avec la tante en laisse, Caroline et son père arrivent. Caroline avait son bras autour de la taille de son père et Agate était à quatre pattes. Caroline se met à branler son paternel en me fixant, là, tout près de nous. Son père regarde sa femme et il bande dur comme fer. Caroline affiche un sourire démoniaque, rempli de bonheur de se sentir enfin libre dans sa tête. Je montre cette belle bite à Caroline. Elle a une brève hésitation en me fixant telle une gamine prise en faute. Maintenant accroupie, ses genoux largement écartés, nous montrant sa nudité intime luisante, elle caresse ce pénis avant de le lécher avec un plaisir bien visible, me jetant de coquins clins d’yeux. Elle finit par l’enfouir dans sa bouche, peinant à tout y mettre. Pascal se met à me regarder, semblant réfléchir, mais à quoi ?
    
    La mère jouit, pire que sa fille, ...
    ... hurlant à qui voulait l’entendre que j’étais presque son meilleur coup. Je ne m’en formalise pas. Même être le dernier m’aurait convenu, tant que je baisais des femmes pour leur plaisir. Alexia et Agate roulent sur le sol, en se goussant. Superbes en gouines, elles avaient la grâce en elles. Sous moi, la mère impudique reçoit mon plaisir en elle. Je lâche un long râle de félicité. Et comme si cela ne suffisait pas, Pascal remplit la bouche de sa fille de son foutre en se cramponnant à sa tête fermement.
    
    Je me retire de cette chatte bien trempée. Sur ma queue poisseuse, et sur l’ordre de son époux, Martine vient me la nettoyer à la manière salope. Enfin quand je dis salope, c’est dans le feu de l’action. D’une main, Pascal la fesse durement et elle semble visiblement apprécier ce genre de pratiques. D’autant que Pascal ne lui gifle pas son cul en douceur. Ses claques résonnent dans toute la maison tellement elles sont puissantes. Et tout se calme quand, sur le sol, deux sublimes gouines jouissent lascivement.
    
    Nous passons à table, plus aucun d’entre nous ne porte le moindre vêtement. Et pour tout dire, cela me plaît. Je suis entre Agate et Martine, et Pascal est entouré de mes deux grâces. Tout le repas n’est que plaisir gastronomique et de la chair. Au dessert, Agate est couchée en travers de la table. Pascal renverse de la salade de fruits sur son corps et y ajoute trois ou quatre bombes de crème fraîche. Sans l’aide de nos mains, nous devons lécher ce corps jusqu’à ne ...
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