Divine compagnie (3)
Datte: 17/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... de l’autre.
Près de la partie habitation, une superbe quadra s’avance vers nous. À la voir, elle ne porte visiblement qu’un grand tablier qui doit nous cacher son corps nu. Une autre femme sort à son tour, sauf qu’elle était comme mes amours, en laisse.
— Maman, papa, je vous présente Alain et Alexia. Ce sont mes amis et mes amours.
— Bordel de merde, c’est bien toi Caroline ? Je t’avoue que j’ai de la peine à te reconnaître comme t’es fringuée. Je suppose que je dois ce changement de cap à ce couple. Soyez les bienvenus vous deux. Alain ?c’est ça ? Ben mon salaud, tu commences bien, toi. Il te plaît ma chérie ?
— Il semble bien fait ! dit la mère de Caroline. Mais venez vous asseoir. Agate, apporte de quoi boire !
— Papa, faut que je te raconte : ça a commencé avec Alexia mais ça, vous êtes déjà au courant. Pis…
Et elle raconte, assise, toujours en laisse, que je tiens toujours dans ma main. Pascal, le père, me fixe. Il devait se souvenir de sa jeunesse. La tante me semble la plus docile des deux femmes avec son fin collier de cuir et la laisse qui y est accrochée. Devant un verre, Caroline est intarissable, commentant ses orgasmes, ceux d’Alexia et les miens depuis hier soir. Elle proclame même que je suis un mec bon, un baiseur de première et aussi un merveilleux petit vicieux. Je vois sa mère et sa tante se branler mutuellement, les bras croisés, le père écoute, très attentif, n’interrompant jamais sa fille. Il semblait heureux que sa fille se soit ...
... totalement décoincée.
Quand il pousse la tante à le sucer, je comprends que j’allais rentrer les couilles vides. Alexia, devant cette mère et cette tante, me dégage mon sexe tendu à mort. Celles-ci se branlent ouvertement, dénudant leur majestueuse poitrine annelée et les seins reliés par une fine chaînette. Puis la mère se lève, vient voir ma pine entrer et sortir de la bouche de mon bel amour d’Alexia. Elle me sourit en se penchant sur moi pour me rouler une pelle bien lascive. Puis elle gagne sa cuisine. Avec Alexia, à son invitation, nous la suivons. Elle nous confie :
— Nous vous devons un immense merci à vous deux. Toi Alexia, pour l’avoir déniaisée et toi, pour lui avoir fait comprendre où se trouvait le bonheur. Je voudrais que vous nous considériez comme vos amis à l’avenir. Je sais, il n’y a pas une heure que vous êtes là. Mais c’est parce que notre trésor sait désormais où se trouve son bonheur, avec vous deux.
— Merci madame, c’est très touchant ce que vous nous dites.
— Moi, c’est Martine et ma belle-sœur se prénomme Agate. Oh, je vois que ça vous surprend. Il ne faut pas. Je l’ai connue bien avant mon sacripant de Pascal. Ça vous dit de me filer un coup de main ? Alexia, la vaisselle est devant toi, avec les couverts Pour toi, Alain, je crève d’envie que tu me trousses. Caroline est si… enfin tu me fais mouiller quoi !
Un peu intimidé, je la vois venir vers moi, me coller son corps nu tout contre le mien, sa main sur ma queue vite mise à nu. Elle ...