Les Gibets de Savannah
Datte: 17/02/2023,
Catégories:
h,
fh,
fbi,
rousseurs,
BDSM / Fétichisme
historique,
délire,
Humour
aventure,
historiqu,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... propose un truc : on fera tout ce qu’on peut pour aider à bord et vous nous apprendrez tout ce que l’on doit savoir pour devenir des matelots comme vous…
Un brouhaha de réprobations parcourt l’assistance. Encore une fois, la seule matelote que l’on apprécie, c’est celle de poiscaille !
— … mais on va ajouter quelque chose en plus… Si vous vous comportez pas comme des porcs, on s’engage à vous vider les couilles comme vous le voudrez et aussi souvent que vous le voudrez !
Là, subitement et Dieu sait pourquoi, l’attitude de tous mes gaziers change brusquement… Comme je viens de rejoindre Adélaïde sur la passerelle, je lui glisse à l’oreille :
— Tu peux me dire ce que tu fous ?
— Attends, c’est pas fini… À une seule exception : moi, je suis et je reste la propriété du capitaine. Si vous voulez me baiser, pas de problème, mais c’est à lui qu’il faudra demander !
En bas, évidemment, c’est une bronca comme pas possible… De nouveau, je me tourne vers elle.
— Et tu comptes faire quoi pour les calmer, maintenant ?
— Moi, rien. Toi, par contre…
Elle a un petit sourire en coin qui en dit bien plus long que n’importe quel discours…
— Tu me fais descendre sur le pont et tu me flanques un magistral coup de bite devant tes hommes. Magne-toi, sinon ça craint…
Que répondre à une combine pareille ? Alors, je l’attrape sans ménagement et l’expédie sur le pont, où elle atterrit – parfaitement par hasard – sur une pile de caisses sur lesquelles elle fait mine de ...
... tomber à la renverse, la robe retroussée jusqu’au nombril. Son extravagante touffe blonde attire aussitôt tous les regards, intérêt qui ne se dément évidemment pas lorsque j’y plonge une queue aussi raide que le mât de misaine.
S’ensuit un pilonnage de forcené qui ne la laisse pas indifférente bien qu’elle ait toutes les peines du monde à s’accrocher au rebord de la caisse… Mais, malgré notre formidable cirque, tout cela ne met pas le feu aux poudres, personne ne nique autour de nous ! Je me penche alors à l’oreille d’Adélaïde :
— Laisse-toi faire et fais-moi confiance…
Aussitôt me suis-je déboîté d’elle que je l’attrape de nouveau par le bras pour la retourner tandis que de l’autre, je viens de dégainer mon sabre d’abordage… Un frisson traverse alors l’assistance, qui se transforme bien vite en soupir de soulagement lorsque je tranche simplement les cordons qui fermaient le corset de sa robe.
Et quelques coups de reins plus tard, ma partenaire est à totalement poil et fait face à l’assistance… Et le frémissement qui s’ensuit n’est subitement plus le même ! D’autant que ces dames se sont enfin décidé à passer à l’attaque et que, c’est bien connu, un homme a rarement assez de sang pour irriguer à la fois le cerveau et la teub.
Mais pour Adélaïde, la fête est bien loin d’être finie, je me retrouve allongé sur le dos, elle à cheval sur mon dard, mais dans le sens inverse de la marche. Moi, je ne vois pas grand-chose à ce qui se passe, mais pour les autres, cela doit ...