1. L'Algérie (9)


    Datte: 16/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... quelques jours seulement, leur vécu, leurs origines, tout ce que l’immense majorité des Français ne connaissait pas, ni même les pieds noirs.
    
    Pendant cette conversation, Farid et Hassan s’étaient rapprochés de moi, me choyant négligemment jusqu’à faire descendre le fin tissu qui me recouvrait, pratiquement jusqu’à mon nombril. Ils m’ont un peu penché, pour que je puisse dévoiler ma fente ourlée aux regards des autres, caressée par chacun d’eux avec des doigts qui me semblaient assez gras. Il ne m’en fallait pas davantage pour ouvrir mon puits d’amour à leur concupiscence, et face à moi, mes yeux ont dévoré l’ampleur grandissante de leurs sexes, ce membre viril que je vénérais, que je considérais comme une pure merveille de la nature, dont je savais que je ne pourrais plus jamais m’en passer.
    
    Chatte enduite de cet onguent spécial destinée aux femmes pour leurs premiers accouplements avec ces hommes hors normes, leur oncle s’est approché, s’est mis à nu et s’est allongé sur moi. Cette barre de chair s’est frottée contre mon orifice, en cherchant l’entrée, et une fois que son énorme gland l’ait trouvé, il m’a envahi, de toute sa puissance, écartant mes cuisses au maximum, pour me pénétrer le plus profondément possible. Au même moment, deux colonnes ont frotté mes lèvres et se sont emparées de ma bouche. Je les suçais avidement et alternativement pendant que des coups puissants défonçaient ma grotte à plaisir des hommes.
    
    Tous les cinq ont pris possession de mon ...
    ... corps pendant cette soirée, par tous les orifices possibles. J’avais l’impression qu’ils se défoulaient, qu’ils prenaient un plaisir qu’ils ne devaient que rarement connaître, avec une fougue, retenue au début, mais qui s’était lâchée complètement, au vu de mon acceptation et de ma jouissance. Leurs sexes étaient gros, très gros, mais aucun d’entre eux ne rivalisait avec celui de Farid, qui reste encore, à l’heure actuelle, le seul de cette taille que j’ai pu connaître.
    
    Fourbu, mais comblé, Farid m’a raccompagné au bâtiment où était ma chambre avec Rachid, mais contrairement à ce que je pensais, c’est dans la sienne qu’il m’a conduit.
    
    Douche prise, thé noir, je dis bien thé noir simple, avalé, nous avons commencé à parler tous les deux. J’avais beaucoup d’affection pour cet homme, si droit, si simple, si franc et si honnête.
    
    — Marc, je comprends que tu sois surpris, un peu désemparé par tout ce que tu vis depuis ta venue dans notre pays.
    
    — Surpris oui, bien sûr... Je ne m’attendais pas à ça, mais désemparé, non.
    
    — L’Algérie reste encore repliée sur elle-même, remplie de tabous, et particulièrement au Sud.
    
    — Explique.
    
    — Chez nous, les Touaregs, une femme ne suce pas, elle se fait encore moins prendre par le cul, et doit montrer qu’elle subit un rapport sexuel avec son mari, comme une épouse soumise, au risque de passer, à ses yeux comme une putain si elle y prend du plaisir.
    
    — Attends Farid, c’est la nature ça... Je comprends pas bien.
    
    — Tu peux pas ...