1. Plus de 15 ans plus tard (2)


    Datte: 15/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory

    ... à faire ça aussi bien ?
    
    — Oui maman, je crois bien, tu sais, à force, et, et je sais aussi le faire avec ma bouche...
    
    Nous sommes arrivés début août et avons maintenant pris l’habitude de dormir ensemble, tous les deux dans son grand lit. Elle dort en chemise de nuit sans rien en dessous et moi totalement nu. Je ne l’ai toujours pas vue toute nue malgré nos sessions quotidiennes de caresses à mutuellement nous donner du plaisir. Cette nuit, je la sens s’agiter, se tourner et se retourner en poussant des soupirs de plus en plus profonds. Je n’ose pas lui demander s’il y a quelque chose qui ne va pas. Je fais semblant de dormir, car je n’ai pas sommeil et parce que son agitation me préoccupe. J’ai toujours peur qu’elle se tourmente ou qu’elle éprouve du remords, de la honte, pour tout ce que nous faisons chaque soir, et que ne sont pas censés faire une mère et son fils, en jouant avec nos sexes pour nous donner du plaisir. Nous sommes couchés l’un à côté de l’autre sous un simple drap, dans le grand lit matrimonial.
    
    Au beau milieu de la nuit, après s’être retournée une énième fois, je sens sa main se poser doucement sur mon visage, deux de ses doigts s’arrêtant sous mes narines, ils sentent bon, ils sentent fort, j’en reconnais immédiatement l’odeur qui me fait immédiatement bander et en déduis qu’elle vient à peine de les retirer d’entre ses jambes. Elle se met à chuchoter dans le noir.
    
    — Tu n’arrives pas dormir, toi non plus...?
    
    — Non maman, j’y arrive pas, ...
    ... je ne sais pas pourquoi...
    
    Puis elle fait descendre sa main sur mon torse et mon ventre, avant de se saisir de mon sexe dressé, tout raidi par le parfum de ses doigts et elle commence à le caresser, se met à me masturber. Quand elle prend ma main gauche pour la placer sur sa motte, je crois encore qu’elle a simplement envie que nous nous caressions mutuellement. Je promène mes doigts le long de sa fente et me rends compte que sa vulve est trempée et grand ouverte, les lèvres gonflées d’excitation. Bientôt, elle arrête de me branler, elle me tient toujours fermement la queue et je la sens la tirer vers elle en murmurant:
    
    — Viens, viens mon petit chéri, j’ai tellement envie, je sais que c’est pas bien, que je ne devrais pas, mais j’en ai tellement envie, au point où on en est de toute façon, autant nous faire plaisir jusqu’au bout, non...?
    
    Sans opposer de résistance je me laisse aller à sa traction alors qu’elle m’attire vers elle, et bientôt je me retrouve sur elle. Elle a largement écarté les jambes, genoux relevés, pour me faire une place entre ses cuisses, je peux les sentir, douces et potelées enserrant mes hanches, elle est prête à m’accueillir, à recevoir le pénis raidi de son garçon. Elle me lâche la bite un instant, le temps de retirer sa chemise de nuit, et puis la reprend dans sa main pour la guider vers le bas, tout au creux de ses cuisses, pour la diriger vers sa fente dont je perçois le chaud parfum, vers son sexe dont les lourds effluves saturent l’air ...