Plus de 15 ans plus tard (2) - Histoires de Sexe

Plus de 15 ans plus tard (2)

... bien charnus, d’un blanc laiteux et veinés de bleu, lourds mais encore fermes, et dont les tétons d’un beau rouge foncé pointent, bien durs et turgescents. Je les trouve vraiment magnifiques, les seins de ma mère:

— Tiens mon grand, puisque je te l’avais promis, ils te plaisent les gros lolos de maman... ? Tu les trouves encore appétissants, les nénés de ta petite maman ? Tu peux toucher si tu veux, tiens, viens téter si tu veux, viens téter maman, approche ta bouche mon petit chéri, voilà, oui, doucement, c’est ça, oui continue, comme ça, bien, là... !

J’ai lâché la culotte que je tenais et mes deux mains sont occupées à lui palper les seins, à doucement les malaxer tout en les tétant goulûment. Maman me branle avec plus d’ardeur et je sens que son autre main s’agite entre ses cuisses, sous sa chemise de nuit, elle a fini par réussir à nous faire jouir en même temps. Le lendemain rebelote, sauf qu’elle plaque d’autorité ma main directement sur son sexe, sous sa chemise de nuit, et me laisse me débrouiller tout seul pour la caresser alors qu’elle s’occupe de ma queue.

— Mets ta main mon chéri, je veux sentit ta main, là, entre mes jambes, touche-moi, n’aie pas peur, vas-y, mets ta main sur ma minette, allez, touche-moi et donne du plaisir à maman, vas-y mon grand, touche la minette de maman, caresse maman entre ses jambes, j’en ai tellement envie !

— Oh maman, mais tu es toute mouillée...

— Oh... ça me met toujours dans tous mes états, tu sais... à l’époque ...

... aussi... ça me faisait la même chose, c’est tellement bon de pouvoir s’occuper de son petit garçon...! je peux bien te le dire maintenant, mais souvent le matin quand je venais faire ton lit, j’étais obligée de me toucher...

— Oh, oh maman, tu es brûlante... !

Toucher pour la première fois le sexe de maman est une sensation absolument extraordinaire. Sa vulve est toute poilue et surtout elle est brûlante, trempée, poisseuse d’excitation lorsque j’aventure un doigt timide au creux de sa fente toute visqueuse. M’aidant de la mouille qui suinte littéralement de son vagin, je la caresse sur toute la surface de sa chatte, sur ses lèvres gonflées et sur le pourtour de son clitoris durci d’excitation, je vais, je viens, remonte et redescend, caresse et frotte la fente de maman, la pénètre avec deux doigts jusqu’à ce qu’elle contracte ses cuisses et que je la sente prendre son plaisir sur ma main restée emprisonnée. Je vais alors chercher sa bouche pour y glisser ma langue, me délectant de la douce et chaude masse de ses gros nénés qui me remplissent la paume des mains. Nos langues s’entremêlent, nous mélangeons nos salives alors qu’elle finit par me faire éjaculer dans sa main.

Après un interminable baiser, je ne m’empêchais de lui avouer tout l’amour dont je me sens rempli pour elle

— Maman, je t’aime !

— Moi aussi mon chéri, mon Dieu que c’était bon, que c’était bon de sentir ta main, là entre mes jambes, tu fais ça bien, tu sais, c’est avec tes femmes que tu as appris ...