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Plus de 15 ans plus tard (2)
Datte: 15/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory
Une quinzaine d’années plus tard (2) Ainsi chaque soir durant les jours suivants, le même scénario se répète durant la soirée, dans une sorte de transe enfiévrée. C’est comme si nous étions à l’intérieur d’une parenthèse magique, d’une bulle de pure et tendre luxure, dans laquelle nous vivons, maman et moi, un véritable état de fusion. Mais peu à peu, les choses évoluent, ainsi un soir, elle se saisit de ma main libre, celle qui était occupée à lui caresser les seins, pour me la plaquer d’autorité entre ses cuisses et elle commence à se caresser avec, à travers sa chemise de nuit. C’est bien la première fois qu’elle fait ça, qu’elle ose montrer son excitation en ma présence. Dans un soupir, elle me confie. — Tu sais, à la longue, ça a fini par me faire des choses à moi aussi, si tu savais comme j’ai pu y repenser, à toi le soir dans ta petite chambre... à ton gros zizi en train de penser à moi, en train de sentir mes culottes, de respirer l’odeur de, l’odeur de ma minette, d’imaginer ton gros zizi gicler pour moi...! Pour la première fois, je peux sentir le contact du sexe de maman, la toison épaisse qui couvre sa motte bien rebondie, mais surtout, plus bas, la chaleur de fournaise et l’humidité de sa fente que je devine entrouverte. Sa main imprime à la mienne un mouvement de va-et-vient sur toute la surface de sa vulve, sur toute la longueur de sa fente, la fait tourner en rond, frottant tantôt avec ardeur, tantôt plus légèrement, jusqu’à ce que je l’entende ...
... gémir, que je sente ses cuisses se contracter, et son corps se tendre pendant de longues secondes. Son visage est en feu, elle a le regard perdu lorsqu’elle se retourne pour me regarder et me dire, en sueur et encore essoufflée: — Eh bien, mon petit chameau... ! j’espère que tu sais ce que tu viens de faire, hein... ?. Tu viens de faire maman, tu viens de faire jouir ta propre mère... !. Et mon Dieu, mon Dieu que c’était bon... ! Sans prévenir, elle s’approche de mon visage et plaque ses lèvres sur les miennes, avant d’enfourner avec passion sa langue dans ma bouche, mélangeant sa salive à la mienne tout en continuant à me branler de plus belle et à me faire presque immédiatement décharger dans sa main. Cela aussi est vite devenue une habitude, nous nous donnons chaque soir mutuellement du plaisir et je peux constater à chaque fois qu’elle se relève, comme une auréole, une marque d’humidité, sur le devant de sa chemise de nuit, là où elle a joui, à l’emplacement exact de son sexe. Durant la journée, à part quelques allusions très détournées lorsque l’occasion se présente, jamais on n’en parle, il n’y a que quelques regards de connivence, de temps en temps. Un soir alors que de ma main libre je lui pelote les seins à travers sa chemise de nuit, et avant qu’elle ne me plaque la main entre ses cuisses, prétextant la chaleur, elle se décide à en baisser les bretelles, se dénudant le haut du corps. Je peux enfin voir ses seins. Ils pendent un peu, mais ce sont deux gros seins ...