Belle-sœur de l'Empereur - 1
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... d’autres hommes pour faire la comparaison !
— Vous voici bien possessif, cher monsieur !
— Sachez que je ne vous ai pas encore pleinement possédée !
— Ah bon ?
— Vous vous souvenez des trois portes dont je vous avais narré l’existence, ma douce ?
— Jade et Nacre…
Déposant un petit baiser dans mon cou, il me félicite :
— Vous êtes une élève appliquée.
— J’ai un bon professeur.
— Il va sans dire… Pour en revenir à nos portes, ma chère Wilhelmine, il en existe une troisième porte, celle d’Ébène.
Intriguée, je demande :
— Ah ? Et où donc ?
— Je suis très proche de son entrée…
— Vous voulez dire que votre… votre vit est très proche de l’entrée de cette troisième porte ?
— Indubitablement ! Et je vais me faire un plaisir de vous indiquer où précisément !
Il prend son braquemard en main, puis écartant délicatement mes fesses entre ses doigts, il pose son cinquième membre contre l’orée de mon petit trou interdit. Je m’étonne :
— Ici ? Mais… mais ce n’est pas prévu pour ça !
— Ah oui ? Pouvez-vous me dire par où ondoyez-vous ?
— Euh… par-devant…
— Exactement, là où je me fais un plaisir de jouer l’épée et vous le fourreau.
— Euh… oui… Donc vous voulez dire que si vous le pouvez par-devant, vous le pouvez aussi par derrière ?
Il se presse un peu plus contre moi, je sens plus fortement encore l’arrondi de sa verge contre mon entrée interdite :
— Exactement, ma chère enfant ! De plus, en parlant de porte, ne suis-je pas passé par votre délicate ...
... bouche, il y a quelques minutes ?
— Oui, mais je vous ai bu, ce qui est dans l’ordre des choses. En revanche, votre porte d’Ébène me semble plutôt être une sortie…
— Mais voyez-vous, on peut aussi y entrer… De plus, j’admire votre phrase : ce qui est dans l’ordre des choses, c’est admirable !
Je sens comme une ironie dans les propos de mon mari. Je proteste :
— Vous vous moquez !
— Pas du tout, ma douce ! J’en viens franchement à regretter le fait de ne pas vous avoir connue plus tôt ! Que de temps perdu ! Que les choses sont mal faites ! Mais j’avoue aussi que je suis extrêmement heureux de vous avoir comme épouse…
— Dois-je vous croire ?
— Vous ai-je déjà trompée en quoique ce fût ?
Mon mari n’a pas tort, je pense que, depuis que nous nous sommes rencontrés, il a joué franc jeu avec moi, même si je soupçonne fortement qu’il a gentiment profité de mon innocence :
— Trompée, peut-être pas. Mais quelque chose me dit que vous abusez peut-être un peu beaucoup de ma naïveté…
— Vous avez en effet un fond naïf, je vous l’accorde, mais c’est justement parce qu’on vous a trompée jusqu’à maintenant. Ne vous ai-je pas faire découvrir d’autres horizons ? Vous ai-je manqué de respect ?
— Non, je le reconnais… mais avouez que je peux me poser des questions ! Depuis que nous sommes mariés, vous avez chamboulé bien de mes certitudes !
— Et j’en suis fier. Car voyez-vous, gracieuse Wilhelmine, vous êtes ma femme, et je compte marcher à vos côtés le plus longtemps possible, ...