1. Belle-sœur de l'Empereur - 1


    Datte: 15/02/2023, Catégories: fh, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... fesses, pendant que vous regardez au dehors ?
    — Voici une étrange lubie, mon cher époux !
    — J’adore contempler votre petit corps si voluptueux, vous le savez. Et si vous faites ce que je vous demande, ce serait alors la première fois que je pourrais admirer vos belles jambes et votre mignon cul debout.
    
    Il paraît qu’il faut toujours obéir à son mari. Je me doute bien que sa demande n’est pas innocente, mais pourquoi pas ? Tout au plus, Karl caressera ou embrassera mes fesses, ou les deux en même temps, et j’avoue que je ne déteste pas cette marque d’intérêt pour ma personne.
    
    J’obéis, puis mes jupons ôtés, j’attends la suite.
    
    — Continuez à regarder par la fenêtre, Wilhelmine…
    — Très bien…
    
    Comme j’ai gardé le haut, et vue la disposition de la fenêtre, même si quelqu’un regardait dans ma direction, il ne verrait pas que je n’ai plus aucun habit sous ma taille. De plus, la pluie qui tombe ne laisserait rien voir, même si j’étais complètement nue.
    
    — Vous avez un délicieux petit cul, Wilhelmine…
    — C’est pour ça qu’hier encore, vous l’avez dévoré ?
    — Exactement ! Comme j’adore dévorer vos seins, votre ventre, votre dos, vos lèvres.
    — Ce serait plus simple de me dire ce que vous n’aimez pas dévorer !
    — C’est exact ! Vous savez quoi, ma douce femme ? J’en viens à bénir mon frère de m’avoir poussé à vous épouser ! C’est sans doute la meilleure action qu’il ait pu faire depuis qu’il est sur le trône !
    — Merci pour le compliment !
    — Non, non ! Ne vous retournez ...
    ... pas, restez ainsi, s’il vous plaît.
    — Comme il vous plaira.
    
    Alors, à travers les divers carreaux, je continue à contempler les jardins au dehors, tandis que je sens sur moi le regard brûlant de Karl. Je dois avouer que ça me plaît bien.
    
    Je sens qu’on bouge derrière mon dos. Je continue à regarder au dehors. Peu après, je sens des lèvres brûlantes se poser sur mes fesses, ainsi que des mains avides. Mon époux aime s’occuper de mes rondeurs, aussi bien celles sous mon menton que celles sous mes reins. Fidèle à son habitude, il est en train de me dévorer de mille baisers. Oui, j’adore qu’on m’adore !
    
    — Ah, Wilhelmine !
    — Oui, Karl ?
    — Vous avez un de ces culs !
    — Oh, Karl !
    — Peu me chaut si je parle comme un paysan ! Mais franchement, vous avez un cul à faire bander un mort !
    — Dois-je comprendre que vous êtes à nouveau en forme ?
    — En plein forme ! D’ailleurs, je vous le prouve tout de suite !
    
    Il se redresse, se plaque sur mon dos, me faisant sentir sur mes fesses son bâton de chair que je commence à si bien connaître. Je lui concède :
    
    — Oui, vous êtes en plein forme ! Je croyais qu’il fallait un certain temps à un homme pour se reprendre de ses émotions ?
    — Il me semble vous avoir prouvé plus d’une fois que je savais vite me reprendre de mes émotions…
    — Je vous l’accorde… mais excusez-moi, mon cher mari, je n’ai pas une très grande expérience des hommes…
    
    Se pressant encore plus contre moi, il gronde à mon oreille :
    
    — Et je vous interdis d’aller voir ...
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