1. Une révélation tardive


    Datte: 13/02/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, poilu(e)s, piscine, humilié(e), Masturbation pénétratio, occasion, Auteur: Manu Hayla, Source: Revebebe

    ... elle, son érection prête à la combler. Supportant les mollets posés sur ses avant-bras, il voyait à travers l’eau bleutée et éclairée son membre dodu approcher la touffe grise. C’était presque de l’ordre du documentaire animalier.
    
    Ses mouvements sous l’eau étaient un peu ralentis. Il avait le pénis joufflu et court qu’il promenait suavement sur l’entrée de la grotte buissonneuse. Ces caresses et les gémissements de plaisir de sa patronne finirent par aboutir à une érection plus que satisfaisante pour un homme de son âge. Fernande, de son côté, recevait passivement cette douce caresse sur ses lèvres et son clitoris qui l’inondaient d’une sensation exquise qui résulta bientôt par un frisson qui la secoua et un désir d’être remplie.
    
    Ils se trouvaient tous deux à un incroyable degré d’excitation lorsque l’acte fut consommé. Le corps dans l’eau, Fernande se sentait comme dans un monde de légèreté. René ressentait, pour sa part, une chaleur et une pression sous la ceinture, le transformant en locomotive. Il la posséda de plus en plus fort, provoquant un clapotis au rythme croissant. L’eau faisait parfaitement office de lubrifiant ; elle ne ressentit aucune gêne à accueillir ces coups vigoureux et répétés. Bien au contraire, tout ...
    ... concourait à une proche apothéose.
    
    Les attouchements dans le taxi, les diverses boissons enivrantes, l’effet relaxant du bain, les va-et-vient impétueux de l’amant inopiné, tout concourut à une explosion orgasmique inédite pour Fernande. Ses jambes se raidirent, un râle profond s’échappa de son gosier pendant que, sous l’eau, ses mains s’emparèrent de ses seins et les malaxèrent rudement par-dessus les vêtements. Une série de contractions spasmodiques sur l’outil du jardinier finit par enflammer celui-ci et bientôt, avec un dernier coup de boutoir, il répandait sa semence au plus profond de sa patronne.
    
    La retraitée savoura un plaisir qui semblait ne pas décroître. Sous les paupières closes, elle s’imaginait flotter dans le vide au milieu des galaxies. Elle ne sentait plus les limites de son corps physique. C’était comme si elle s’était fondue dans ce qui l’environnait et en ressentait un bonheur inhumain.
    
    D’un coup, elle repensa à sa collègue… Celle qui l’avait tant blessée.Je te l’accorde… tu as raison ! Ce n’est pas une vie que d’être mal baisée ou pas baisée du tout. Ça, on ne peut le souhaiter à quiconque. À cet instant précis, elle se sentait pleine de reconnaissance… Si elle pouvait, elle dirait : « Merci pour l’insulte ! » 
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