1. Je ne peux lui résister et pourtant


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail boitenuit, collection, vengeance, entreseins, Oral pénétratio, glaçon, Auteur: Mara-Jade, Source: Revebebe

    ... l’un de mes seins.
    
    — Dis-le… Allez, dis-le !
    
    Je sais ce qu’il veut entendre, et je n’en peux plus d’attendre ; alors je le comble, je m’abaisse, je me soumets.
    
    — Prends-moi, baise-moi, emplis-moi, fais-moi jouir avec ta grosse queue dure…
    
    Encore une fois il pousse un râle libérateur en me pénétrant. Si je ne l’avais pas sucé d’abord, je ne suis pas certaine qu’il aurait été capable de résister aussi longtemps à son envie. Maintenant qu’il est en moi, je me laisse aller à mes plus bas instincts, laissant de côté mes principes et ma fierté, criant presque à chaque fois que ses couilles viennent buter contre ma peau, signe que la pénétration est très profonde.
    
    Il me martèle, me pilonne avec frénésie, sans relâche et avec de vigueur, mais ce n’est jamais assez, ni pour lui, ni pour moi.
    
    — Dis-le maintenant ; dis-le ! m’ordonna-t-il.
    — Baise-moi fort… Plus fort… Encore… Vas-y, ne t’arrête pas, je vais jouir !
    
    Je viens de lui dire tout ce qu’il avait prévu me faire dire, mais je m’en fiche. Quand je suis dans cet état-là, je perds toute pudeur ; il n’y a que les besoins les plus primaux qui comptent. Je deviens l’esclave de mes sensations…
    
    Je sens que les parois de mon vagin enserrent sa queue dans une série de spasmes réguliers qui le font un peu ralentir. En définitive, il veut que ça dure ; et je ne m’en plains pas, bien au contraire ! Il s’extirpe de moi et me soulève pour me poser sur le bar où il grimpe à son tour. Il se couche ensuite sur le dos, ...
    ... l’érection bien droite.
    
    — Viens sur moi maintenant, montre-moi comment tu bouges.
    
    Je m’empale alors sur lui et je commence à rouler des hanches. Il fixe le mouvement de mes seins, comme hypnotisé pendant que je me laisse prendre au jeu et que je m’abandonne toute entière au plaisir qu’il me procure, à cet organe bien dur qui me donne bien du plaisir.
    
    Cette fois, j’atteins encore plus rapidement l’orgasme, mais je décide de ne pas ralentir la cadence. Je continue de bouger, de me frotter à lui, de le faire glisser dans mon canal inondé. Mes mouvements sont désormais uniquement pour moi, et pour moi seule. Je vide mon esprit et m’abandonne une fois pour toutes. Je suis proche de ma fin, et je ne me gêne plus pour le dire.
    
    — Ta queue est trop bonne… ça vient encore !
    — Vas-y, jouis pour moi, jouis sur ma queue ; jouis, ma grosse truie !
    
    Je prends alors conscience de ce qu’il vient tout juste de me dire, mais mon esprit n’est pas assez fort pour que je le repousse. Je me laisse donc aller vers le puissant orgasme que j’ai si savamment préparé, le plus fort de toute la soirée. Mes spasmes n’en finissent plus, venant enfin à bout de mon insatiable partenaire qui prend le relais de mes mouvements de bassin afin de pouvoir lui aussi profiter jusqu’au bout de l’aventure. Pour être certain que je ne l’abandonne pas avant qu’il en ait fini – surtout après ce qu’il vient de me dire, il me retient fermement par les hanches.
    
    — Je viens… Je viens… Aaaaah !
    
    Je le sens qui ...