1. Je ne peux lui résister et pourtant


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail boitenuit, collection, vengeance, entreseins, Oral pénétratio, glaçon, Auteur: Mara-Jade, Source: Revebebe

    Je m’appelle Élodie, j’ai 24 ans. Je suis étudiante à l’université le jour et barmaid dans un club branché de ma région le soir. Je n’ai pas véritablement choisi cet emploi, c’est plutôt lui qui m’a choisie. Je fréquentais déjà l’endroit trois soirs par semaine avant d’y être embauchée. J’ai d’abord commencé comme shooter girl, puis j’ai passé de l’autre côté du comptoir, là où mes fesses sont un peu moins caressés par des mains baladeuses, mais toujours autant regardées cependant.
    
    Ce bar, c’est mon territoire ! Je m’y sens puissante, forte et désirable ! Je butine, j’explore, je m’en mets plein la bouche. En une seule soirée, j’arrive parfois à introduire ma langue dans au moins cinq bouches différentes, et ça m’est même déjà arrivé de le faire avec des queues, surtout à mes débuts, mais aujourd’hui je suis un peu plus sélective…
    
    C’est vendredi soir, mais pas n’importe lequel. C’est la fin de la session à l’université. L’endroit est donc bondé et je n’ai pas une seule seconde à moi. Ils ont tous très soif et je n’ai que deux mains. Ma collègue de travail vient de me lâcher et mon patron essaie d’appeler un ami à lui, un autre propriétaire de club, pour le sortir du pétrin.
    
    C’est ainsi qu’il s’est retrouvé derrière le bar avec moi pour finir la soirée. Un torse parfait, moulé sous un t-shirt blanc. Son jeans foncé est un peu trop ample pour me laisser voir clairement la forme de son derrière, mais je suis certaine qu’il va de pair avec l’ensemble de son corps si ...
    ... bien entretenu. On me le présente très vite. Il s’appelle Ludo, ce que j’imagine être le diminutif de Ludovic, mais qui sait, de nos jours.
    
    La soirée passe ensuite très vite et l’achalandage au bar diminue au fur et à mesure que l’état d’ébriété des clients augmente. Ludo est d’une efficacité comparable à un employé d’expérience, ce qui doit probablement être son cas. Mon patron a dû le payer le prix fort pour l’avoir à une heure aussi tardive, mais je n’en suis pas jalouse. Au contraire, il nous a bien dépannés.
    
    À plusieurs reprise durant la soirée, nous nous sommes frôlés, mais rien de bien vilain ou déplacé. Vers 2 h 30 du matin, j’ai enfin la chance de discuter un peu avec lui.
    
    — Je travaille pour le club de danseurs à trois rues d’ici. Le proprio est l’ami de ton patron, m’explique Ludo.
    — Moi, ça fait deux ans que je suis ici. C’est pour payer mes études.
    — Moi, pour le moment, c’est seulement ça, ma carrière. Je n’ai pas encore tout à fait trouvé ce que je veux véritablement faire dans la vie. De toute façon, mon travail me convient plutôt bien et me laisse beaucoup de temps libre.
    — T’inquiète, je ne juge pas. Ce n’est pas un métier honteux, sinon je ne le pratiquerais pas !
    
    Il a des yeux magnifiques, d’un bleu clair, perçants, dont il est difficile de se détourner. Ses cheveux sont noirs, légèrement ondulés et il les coiffe avec un style assez moderne, ce qui le rend encore plus irrésistible. Physiquement il m’attire, mais quelque chose m’empêche d’agir ...
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