1. Je ne peux lui résister et pourtant


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail boitenuit, collection, vengeance, entreseins, Oral pénétratio, glaçon, Auteur: Mara-Jade, Source: Revebebe

    ... comme je le fais habituellement dans ces cas-là…
    
    Mon blocage avec lui, je crois deviner d’où il provient. Il travaille dans un club de danseurs, s’habille avec des vêtements qui savent le mettre en valeur, il entretient son corps et sait se coiffer… C’est clair qu’il est gay, et c’est ce qui m’empêche de lui faire du rentre-dedans. J’ai toujours eu un sixième sens pour les déceler, et encore une fois je suis persuadée de viser juste.
    
    Plus tôt dans la soirée, il a pourtant réussi à me faire frissonner un peu. Il s’était penché sous le comptoir vis-à-vis l’endroit où je me tenais pour aller chercher un bac de glaçons. À ce moment-là, je me suis mise à l’imaginer passant sa tête sous ma robe pour aller lécher mon entrejambe. Juste d’y penser, j’en mouille encore ; mais comme il est gay, impossible que cela se produise entre nous.
    
    À la fin de la soirée, il m’aide à tout ramasser, et avant de partir il me dit « À demain ! » en m’embrassant sur les joues, ce qui fait que son parfum suave emplit mes narines et émoustille mes sens. Mon patron l’a réquisitionné pour les deux jours : je pourrai donc continuer de fantasmer encore un peu demain soir…
    
    En arrivant dans mon petit appartement, je prends une longue douche plus froide que chaude, mais cela ne réussit pas à me calmer. Je fais alors la seule chose qui va pouvoir enfin me replacer les idées : je me masturbe en pensant à lui… Il est très rare que je m’abaisse à une telle chose en dirigeant toutes mes pensées vers ...
    ... une personne en particulier. Généralement, lorsqu’il m’arrive de le faire, c’est en regardant du porno sur Internet, et jamais en me focalisant sur un collègue de travail, gay de surcroît !
    
    Au bout de quelques minutes de torture violente de mon clitoris, je jouis, mais ce n’est pas suffisant pour me garantir le sommeil dont j’ai besoin. Mon esprit se met à mélanger le fil de mes pensées avec des images de mon passé, m’amenant à voir en rêve des visages qui appartenaient à mon ancienne vie et dont je me souvenais plus ou moins depuis un moment…
    
    Je me réveille en sueur ; il est 10 h 30 du matin, beaucoup trop tôt pour un samedi. Je décide tout de même de me lever, émergeant enfin de l’horrible cauchemar que je viens de faire et qui m’a mise dans un sale état. Sans trop comprendre pourquoi, j’ai rêvé de mon passé, de l’époque où j’avais 15 ans et que l’on me surnommait « Élodie la grosse truie ».
    
    Il faut dire qu’en ce temps là, j’avais un surplus de poids ; rien d’irréversible, mais assez pour susciter quelques moqueries de la part des garçons de mon école. J’imagine que c’est un peu en partie pour cela que j’aime autant plaire aux hommes aujourd’hui. Je crois qu’inconsciemment j’essaie de me prouver – ou plutôt leur prouver – que je suis devenue une femme désirable, le genre qu’ils ne peuvent que rêver d’avoir mais qui leur sera toujours inaccessible…
    
    C’est alors que j’ai un flash dans ma tête. Je file vers ma bibliothèque et j’attrape mon album de finissants du ...
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