1. Je ne peux lui résister et pourtant


    Datte: 02/09/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail boitenuit, collection, vengeance, entreseins, Oral pénétratio, glaçon, Auteur: Mara-Jade, Source: Revebebe

    ... lui résister. Une sorte de vengeance à retardement en quelque sorte. J’aimerais bien voir la tête qu’il ferait s’il savait qui je suis ! Le problème, c’est qu’il y a une plus grande partie de moi qui n’a pas véritablement envie de lui révéler mon identité.
    
    J’ai fui ma ville de naissance justement pour me reconstruire, loin de mes vieux démons. J’ai coupé les ponts avec pratiquement tout le monde de mon passé pour ne pas qu’on m’associe à Élodie la grosse truie, et voilà que surgit de nulle part, dans un corps des plus sexys, un garçon que je devrais haïr bien plus que désirer.
    
    Tout cela, cette histoire, c’est devenu trop compliqué pour moi. Je ferais mieux de me laisser baiser par un client dans les toilettes plutôt que de continuer ce petit jeu de provocation avec Ludo…
    
    De retour au bar, je décide de me concentrer sur mon travail, mais je sens de plus en plus s’attarder sur moi le regard de Ludo et ses mains quand il réussit à se trouver une excuse pour me toucher. Je suis au bord de la crise de nerfs !
    
    Le pire, c’est lorsqu’il me glisse à l’oreille peu de temps après mon retour :
    
    — Ta chatte a un goût incroyable ! Peut-être aimerais-tu goûter à ma queue avant qu’elle ne s’y aventure pour savoir si elle en est digne ?
    
    Je sais très bien ce qu’il attend de moi : il veut que je me glisse sous le comptoir et que je le suce avec avidité jusqu’à ce qu’il explose sa semence dans ma jolie bouche. Je ne lui ferai pas ce plaisir ! J’ai bien l’intention de tenir le ...
    ... coup, de me laisser désirer avant de le larguer pour un autre, un moins beau que lui ; ça, ça lui ferait peut-être mal, mais à moi aussi je crois… Je décide donc de laisser tomber les mauvais plans qui me trottent dans la tête et de laisser la soirée suivre son cours.
    
    Plus tard, il revient à la charge ; se faisant plus insistant, il me murmure dans un souffle :
    
    — Tes fesses, tes seins… Je te frôle à peine que je bande comme un fou !
    — Alors arrête de me regarde, arrête de me toucher. On travaille, je te signale ! lui dis-je de ma voix la plus professionnelle.
    — Comme si c’était le genre de chose qui te dérange d’habitude ; ce n’est pas la première fois que je viens dans ce club, tu sais. J’ai déjà vu ton mode opératoire avec les hommes. Ne me dis pas que tu n’as pas envie que je te baise : ta chatte était déjà mouillée avant même que je ne la touche tout à l’heure.
    — Peut-être que c’était à cause du gars avec qui je discutais ? le provoqué-je.
    — Je sais que c’est faux ; je le vois dans tes yeux, je le sens dans ton corps. Tu veux te faire désirer, mais avant la fin de la nuit ma queue sera enfoncée directement dans ta chatte et tu vas me supplier de te baiser plus fort, plus longtemps…
    — Tu te crois le plus fort ? C’est toi qui me cherches, c’est toi qui me supplies depuis tout à l’heure de te soulager, et non le contraire.
    — C’est vrai, et je l’assume alors que toi tu ne sembles pas à l’écoute de ce que tu veux vraiment.
    
    Durant tout le temps où il me parle au ...
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