Frasques à Deauville
Datte: 02/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... me fait du bien, je vous remercie d’avoir accepté mon invitation.
Elle venait de se pencher en arrière dans son fauteuil et de croiser ses jambes. La jupe découvrait à nouveau le haut de ses bas. J’étais obnubilée par la vue.
- Non non, c’est tout naturel, dis-je, et puis vous m’évitez des heures d’embouteillage …
- Heureusement que j’ai entendu pour l’accident, sinon, c’est vrai que vous y aviez droit
- Oui, euh, en … en … en …effet
Qu’est ce qui m’arrive ? Je bafouille. Je n’ai pourtant pas bu d’alcool ! Et ma vue se troublait légèrement, ma tête tournait aussi. Je portais à nouveau la tasse à mes lèvres et au moment d’ingurgiter une nouvelle gorgée de thé, je me suis dit « Elle m’a droguée ! »
- Laetitia ? Vous ne vous sentez pas bien ?
- Euh …Si …Non, un léger étourdissement, sur … surement …
- Vous voulez vous allonger dans une chambre ?
- Je ne sais pas … je ne …
- Venez me dit-elle en m’agrippant par la taille
Aussitôt dit, aussitôt fait, avant que je puisse réagir, elle m’entrainait dans un couloir. Mes jambes étaient en coton, heureusement qu’elle me soutenait.
Je me suis retrouvée allongée sur un lit. Constance, était assise sur le bord :
- Vous êtes très belle Laetitia ! me dit-elle en posant sa main sur ma cuisse et en la remontant sous ma jupe.
- Je ne …. Vous …
- Chutttt, souffla-t-elle avant de déposer sa bouche sur la mienne
Sa langue s’introduit dans ma bouche. Sa main a délaissé ma cuisse pour se poser sur ...
... ma poitrine, qu’elle massait en douceur.
J’étais consciente, mais toute molle. Surement l’effet d’une drogue ! Mais le traitement qu’elle me réservait n’avait pas l’air si terrible que ça. Au contraire, d’abord rendue anxieuse par la situation, me sentir ainsi passive et sans défense, je sentais mon excitation poindre, puis monter. Ne serait-ce pas un aphrodisiaque plutôt qu’un somnifère ? Toujours cotonneuse, mes muscles se détendaient un à un et je m’abandonnais progressivement. Une sensation de chaleur et de quiétude m’envahie. Par contre, j’étais comme déconnectée de la réalité. Je participais à la scène, certes, mais j’avais également l’impression d’en être au dehors, comme spectatrice. Sensation un peu ambiguë, je dois l’avouer …
- Est-ce que vous seriez disposée à me rendre un service Laetitia ? me dit-elle en lâchant ma langue et la bouche.
- Je … Oui
Ma volonté semblait au point mort. Je m’abandonnais donc, pourquoi résister après tout ? Je me redressais, je me sentais moins faible.
- Dites toujours !
- Oh, ce n’est pas grand-chose. Juste satisfaire un fantasme
- C'est-à-dire ?
- Peu de chose, acceptez-vous que je vous guide ? Pas d’inquiétude, vous ne risquez rien. J’ai un fantasme un peu particulier !
- Je … Je … ne sais pas …
- Laissez-vous aller Laetitia, je suis, persuadée que vous allez y prendre du plaisir
Puisqu’elle le dit, elle doit avoir raison.
Constance s’est relevée du lit. Elle a déboutonné son chemisier blanc, ...