1. Roméo et Juliette... et Alphonse !


    Datte: 04/02/2023, Catégories: fh, extracon, candaul, fsoumise, cérébral, noculotte, pénétratio, init, Humour totalsexe, Auteur: Honoré, Source: Revebebe

    ... rempli, Juliette se surprit à répondre, devenant tout aussi vulgaire :
    
    — Oui, enfonce-la-moi, comme ça, oui… Oh que c’est bon… Quelle est dure !
    
    Alphonse la ramona quelques minutes, debout, en commentant :
    
    — Ben ma cochonne, tu as l’air d’aimer ça…
    
    Mais il trouva vite inconfortable la position.
    
    Malgré la plainte de sa maîtresse, Alphonse se détacha d’elle et la poussa, sans que ses mains ne lâchent les seins et les fesses de sa conquête, jusqu’à la chambre conjugale pendant que la main de la douce Juliette tenait le diable d’homme par la queue.
    
    Arrivée sur le seuil de sa chambre, Juliette s’arrêta… et s’opposa au désir pervers d’Alphonse de profaner la chambre conjugale, même s’il l’embrassait, la doigtait à nouveau, en pressant son braquemart contre son ventre. Sa chatte brûlait de recevoir à nouveau ce robuste mandrin qu’elle serrait dans sa main, mais, retenue par une ultime réticence :
    
    — Non… pas ici, non…
    
    Elle réussit à l’entraîner vers la chambre d’amis, voisine.
    
    Conciliant, il l’accompagna jusqu’au lit, l’y allongea sur le flanc, se coucha derrière elle, il lui releva une jambe et, en cuiller, il glissa à nouveau son sexe dans le vagin maintenant bien lubrifié d’une Juliette qui ne cessait de gémir et quand, toujours finement, il lui dit :
    
    — T’es bonne, toi… tu m’excites… Tu aimes ma queue ?
    
    Juliette, s’abaissant au diapason de son baiseur, lui répondit :
    
    — Oui… j’aime ta queue, je la sens bien… elle est grosse, et ...
    ... dure…
    
    Emportée par les violentes sensations qui l’agitaient, tout en se sentant coupable et honteuse de trahir son époux, de plus en cédant à un tel homme, Juliette ahanait au rythme des coups de boutoir de son baiseur. Soudain, elle fut surprise par une sensation encore inconnue, un éclair, une vague, une énorme vague, bien plus forte que ce qu’elle avait jamais connue avec Roméo, qui l’envahit, remontant du fond de son vagin jusqu’à sa poitrine, sa tête, qu’elle exprima par un cri rauque, sauvage… Pour la première fois de sa vie, Juliette jouissait vraiment, « comme une folle », et son cri surprit Alphonse qui ne se retint plus et conclut son assaut vigoureux en crachant son plaisir dans le ventre accueillant qu’il avait besogné si gaillardement.
    
    Embrassée, caressée, pénétrée, assommée par l’orgasme, Juliette avait complètement oublié son mari.
    
    Justement… En arrivant au pavillon, Roméo fut surpris de ne trouver ni sa douce moitié ni son invité, sur le perron. Néanmoins, sans s’inquiéter (« Ils sont peut-être sortis faire des courses… »), il entra, se défit de sa veste, de sa cravate et se dirigea vers la salle de bain. Il sursauta quand, provenant de la chambre d’amis, il entendit un long cri. Arrivé devant la porte entrouverte, il vit Juliette nue, allongée sur le flanc, et Alphonse, nu également, allongé derrière elle, le ventre pressé contre les fesses et le dos de Juliette, qui lui caressait négligemment les seins. Juliette, nue, enlacés par un homme sur le lit… ses seins ...