1. Roméo et Juliette... et Alphonse !


    Datte: 04/02/2023, Catégories: fh, extracon, candaul, fsoumise, cérébral, noculotte, pénétratio, init, Humour totalsexe, Auteur: Honoré, Source: Revebebe

    ... ses aises, et même de commencer à y prendre goût… Juliette, jusqu’alors épouse fidèle, était troublée par la langue importune d’un impudent qui se frottait à la sienne, et ne savait plus comment concilier son rejet de ce goujat adipeux (mais qui savait embrasser) avec son trouble en face de sa belle érection qui, à son insu la flattait…
    
    Juliette, troublée par ce baiser, hésita un peu et rendit les armes. Vaincue par l’énergie du soudard, elle passa maladroitement ses bras autour du cou de son hôte, laissa son ventre se plaquer contre le ventre, dur, de l’homme, et sa langue accepta la pression de celle d’Alphonse. Alors, les mains de l’homme se firent plus audacieuses, retroussèrent le peignoir pour caresser les fesses de la femme, pincer leur fermeté crispée, se hasardèrent entre elles, puis remontèrent le long de son dos, jusqu’à sa nuque, qu’elles effleurèrent légèrement. Ensuite, il glissa ses mains dans l’échancrure du peignoir, le rabattirent sur sa taille pour exposer ses seins pleins et généreux à sa vue et leur donner l’assaut pour les pétrir lentement, fermement, les empaumer et en déguster la moelleuse fermeté, puis il se mit à jouer délicatement avec ses tétins, les titillant sans vergogne et, baissant la tête, il les suçota et les téta avec une avidité gourmande.
    
    Juliette savourait les prémices de son premier adultère et s’abandonnait doucement, langoureusement à la lubricité virile. Les mains d’Alphonse poursuivirent leur avantage, ouvrirent la ceinture du ...
    ... peignoir, l’écartèrent et descendirent jusqu’au ventre pour se poser sur le pubis, faisant naître un profond soupir dans la bouche de Juliette. Toujours maître de ses lèvres, il la poussa contre le mur et ses doigts s’attardèrent dans la toison féminine, trouvèrent le clitoris qu’ils titillèrent doucement, longuement. Juliette se mit à respirer de plus en plus vite, de plus en plus fort et poussa un petit cri pour annoncer l’imminence d’un premier orgasme, pendant qu’Alphonse poussait plus loin et s’aventurait dans l’oasis qui commençait à sérieusement s’humidifier. Fiérot, il enfonça gaillardement son majeur dans la vulve, arrachant un nouveau cri, plus fort, à Juliette. Puis son doigt explora les profondeurs de la chatte de la femme qui ne pouvait plus se retenir plus et qui, le corps soudé contre celui d’Alphonse, la tête sur son épaule, déposait des rafales de halètements, de gémissements, et de cris dans l’oreille de l’homme…
    
    — Maintenant, tu veux qu’Alphonse te l’enfonce bien profond, hein… lui dit-il vulgairement.
    
    Sans attendre de réponse, il dégrafa sa ceinture, baissa son pantalon et son slip pour, dans un ricanement narquois, enconner brutalement la tendre Juliette, appuyée, debout contre la commode de l’entrée. Surprise par la taille et la raideur de la verge du satyre, Juliette accueillit l’entrée en elle de cette chair par un « Oh… » de ravissement, accompagné d’un regard surpris. Accompagnant la pénétration par des râles remontés de profond de ventre bien ...
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