1. Roméo et Juliette... et Alphonse !


    Datte: 04/02/2023, Catégories: fh, extracon, candaul, fsoumise, cérébral, noculotte, pénétratio, init, Humour totalsexe, Auteur: Honoré, Source: Revebebe

    Alphonse, un ami de Roméo, devait assister à un concert dans leur ville et avait été invité à venir passer la nuit chez eux. Roméo devant rentrer un peu tard, il avait demandé à Juliette de se charger de l’accueil de leur hôte. Juliette n’aimait pas beaucoup cet homme, pas vraiment beau, bedonnant, vulgaire, mais qui, malgré tous ses défauts, ou pour les oublier, s’acharnait à séduire toutes les femmes qu’il rencontrait. Il ne voulait pas leur plaire, il voulait les baiser ! Juliette avait bien remarqué que les yeux d’Alphonse s’attardaient volontiers sur ses seins, ses hanches, et donc aussi sur ses fesses, supposait-elle… Elle n’avait pas aimé cette concupiscence, même si, en même temps, elle en était flattée… (Ah, les femmes !) Mais bon, depuis qu’elle s’était mariée, Juliette était restée fidèle à son époux et n’avait jamais tenté de déroger à cette règle. Comme elle craignait de devoir faire la conversation à Alphonse pendant des plombes, Juliette pressa Roméo de ne pas rentrer trop tard.
    
    Après avoir jardiné tout l’après-midi, Juliette sortait de la douche, vêtue d’un léger peignoir, quand elle entendit sonner. Croyant que leur voisine venait encore lui emprunter quelques ingrédients pour préparer l’une de ses inénarrables recettes, Juliette ouvrit la porte, insouciante, et se retrouva, nue et encore tiède sous son peignoir, en face d’Alphonse qui, surpris par sa tenue légère, la salua avec désinvolture, puis retrouva promptement ses esprits et son naturel ...
    ... concupiscent pour admirer complaisamment cette beauté, peut-être un peu froide, mais aux seins pleins qui tendaient le peignoir, aux hanches larges et aux jambes galbées, mettant Juliette mal à l’aise devant ce cavalier examen de son anatomie.
    
    Il posa son sac et referma la porte. Avec quelques réticences, Juliette lui souhaita timidement la bienvenue, excusa l’absence de Roméo et tendit ses lèvres vers la joue d’Alphonse, mais fut toute surprise quand sa bouche rencontra les lèvres de l’homme. En la regardant droit dans les yeux et la couvant d’un regard lourd, il passa son bras autour de sa taille mince pour la presser contre sa bedaine, couvrit de sa bouche la bouche de son hôtesse, et sa langue y pénétra lentement, se lovant contre celle de Juliette.
    
    Juliette, surprise par cette invasion, réticente, mais peu habituée à affronter le désir des hommes, résista, essaya de le repousser, puis finit par le laisser faire, parce qu’elle ne voulait pas d’esclandre avec un ami de son chéri. Ses yeux, hagards, rencontrèrent ceux d’Alphonse, y lurent un désir faunesque, son ventre sentit la fermeté du sexe qui se pressait contre lui… La langue qui s’enfonçait dans sa bouche l’empêchait de se défendre et de lui signifier son refus. Se résignant, Juliette feignit d’accepter le baiser, espérant que sa passivité décevrait Alphonse et l’inciterait à la brièveté, mais le baiser dura et Juliette fut surprise de ne pas être dégoûtée par cet envahissement de sa bouche par cette langue qui y prenait ...
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