1. Nymphomane, moi ? Tome III (1)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... sa vieille bite, assez petite, mais ma foi assez dure vint se frotter à ma chatte.
    
    Il était pressé maintenant, je le laissai faire cette fois. Il me passa un avant-bras sous le ventre, tandis que de l’autre main, il me massa les seins. Il enfila sa queue dans mon sexe qui s’humidifia plus par l’excitation que me donnait la pensée de me faire baiser par un vieux, que par la grosseur du cylindre qui entra en moi. Je creusai les reins pour mieux le recevoir. Il me pénétra en donnant de grands coups et haleta comme un soufflet de forge. Je tournai la tête pour l’observer, je crus qu’il allait avoir une crise cardiaque, son visage était rouge pivoine, il transpirait à grosses gouttes, me serrait la taille avec force.
    
    Je ne sus pas si ce fut de voir l’effet que je lui fis, mais dans mon ventre monta une douce chaleur.
    
    Je m’entendis murmurer.
    
    — Encore, encore... plus vite, plus vite... je vais jouir !
    
    Je sentis les soubresauts de sa queue et il éjacula en râlant et criant de bonheur, ça déclencha dans mes entrailles une petite jouissance, et je me maudis de jouir à nouveau avec un vieillard, surtout que sa bite n’avait rien à voir avec celle du vieux fermier, encore moins avec celle de Gérald. Il me remercia des larmes de bonheur plein les yeux.
    
    — Ma queue n’est pas très grosse, ni très longue. Jolie comme tu es, tu as dû connaître de véritables étalons... ! Tu es un amour ! Tu as pitié de moi !
    
    — Mais ce n’est pas pour ça que je l’ai fait... Alfred,
    
    Je ...
    ... débitai cet énorme mensonge sans bafouiller ni rougir. Je me penchai et avec ma langue, lui nettoyai la bite qui était luisante de mon foutre et de son sperme, il se mit à trembler de bonheur. Au lieu de déglutir les sécrétions que j’avais léchées, je lui montrai ma langue, m’approchai de lui et l’embrassai, transférant dans sa bouche ma salive poisseuse :
    
    — Avale, Alfred, lui dis-je !
    
    Il s’exécuta :
    
    — Tu es merveilleuse, me dit-il. Tu sais, j’ai une passion... Tu vas peut-être trouver cela bizarre... c’est le candaulisme. Comme tu es plus jolie qu’un ange, je crois que si tu es d’accord pour assouvir mes fantasmes, je vais être au paradis...
    
    Après quelques semaines où nous fîmes plus amplement connaissance, il se montra curieux... Il fallut que je lui raconte en grande partie et avec beaucoup de détails ma vie amoureuse tant au boulot qu’en dehors. Il était aux anges en écoutant mes histoires, avec Gérald, Maxime, le vieux fermier et son rejeton...
    
    — Depuis que tu es ici, je ne vois plus le temps passer ! Il faut à tout prix que je connaisse ton ami Gérald, tu devrais l’inviter, j’ai aussi invité trois vieux copains de faculté.
    
    Gérald accepta avec enthousiasme l’invitation et le soir venu, après les présentations, Alfred nous offrit le champagne en apéritif. Il avait commandé chez le traiteur un repas succulent. Je subodorai que j’en serai sûrement le dessert !!
    
    Le dîner fut largement arrosé surtout pour moi, ils n’arrêtèrent de remplir mon verre. Il fut ...
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