1. Nymphomane, moi ? Tome III (1)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    — Tu vois Maxime, depuis mon divorce, je suis seule dans ma grande maison, je trouve cela languissant ! La solitude me pèse.
    
    — Écoute, j’ai un vieil oncle qui recherche, comment pourrait-on appeler cela ? Oui, une dame de compagnie. Il est assez riche et se trouve seul lui aussi dans une splendide maison. Si tu veux, je lui parle de toi, avec ton métier, tu pourras l’aider, lui taper ses papiers, tenir ses comptes. Il passe son temps à étudier les anciennes civilisations, et il écrit des bouquins.
    
    — Dis donc, ce serait bien, je pourrai mettre ma maison en location, cela me ferait un revenu supplémentaire... Il n’est pas invalide ni gâteux au moins ton oncle ?
    
    — Non, au contraire, il est dru comme du bois vert. Et je lui vanterai tes qualités... me dit-il avec un grand sourire !
    
    Maxime dut être un bon ambassadeur puisque Alfred, c’était son nom, qui habitait une très jolie maison avec jardin et piscine, me convoqua aussitôt. Je dus lui plaire, car l’affaire fut conclue, j’habiterai ici, tout en continuant à travailler, et comme les horaires à la carte me permettaient de sortir à 16 heures, j’avais beaucoup de temps à lui consacrer. Il tint absolument à me verser un petit salaire. Il ne fit aucune objection à ce que je puisse recevoir mes connaissances.
    
    Alfred était petit, sec, pas de cheveux sur le dessus du crâne, des tempes blanches, et une barbichette bien taillée.
    
    Le jour de mon déménagement, je le précédai en direction de la porte d’entrée. Je sentis ...
    ... son regard rivé sur mes fesses. Après m’être installée, je le rejoignis dans la bibliothèque. Il m’indiqua que si je voulais bien, il aimerait que je l’aide à classer un grand nombre de documents et à taper son courrier. Il verrait par la suite si cela me convenait, à me confier d’autres tâches... Le soir venu, je m’installai seule, avec un bouquin dans la même bibliothèque. J’entendis les pas d’Alfred qui arrivait. Aussitôt, je fis semblant de m’être assoupie.
    
    La porte s’ouvrit, je remuai suffisamment pour que dans une posture d’abandon, ma jupe remonte sur mes cuisses ; ses yeux remarquèrent le léger mouvement. Puis il reporta son regard sur mes seins comme pour les étudier. Il dut penser que je dormais, que je ne pouvais pas le voir, alors que je l’observais avec mes yeux mi-clos.
    
    Dans un mouvement naturel, je relevai les jambes, le tissu remonta, dévoilant ma chair nue, les attaches et les lanières du porte-jarretelles noir. Je le vis s’approcher très discrètement pour profiter du spectacle offert, ses yeux essayèrent de percer la pénombre au-dessus des bas, puis un sourire sur les lèvres, il tourna les talons et ressortit de la pièce.
    
    Le lendemain, je lui demandai de m’excuser pour le petit somme que j’avais fait dans la bibliothèque. Il me dit, en souriant, que le voyage et le travail avaient dû me fatiguer. Il m’offrit une tasse de café, j’effleurai ses doigts en prenant la tasse, en lui souriant tendrement.
    
    — Je crois que nous allons bien nous entendre, ...
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