Nymphomane, moi ? Tome III (1)
Datte: 01/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... demanda de l’excuser et partit répondre. Je remis ma jupe et mon sein en place.
Une fois la conversation terminée, il revint vers moi, me remercia en me baisant la main.
— Vous savez, cela fait plus de trente-cinq ans que je n’avais pas tenu une jeune et jolie fille comme vous dans mes bras ! Je vous remercie pour cet instant merveilleux !
Je le flattai en lui disant qu’il était doué, ce qui n’était pas tout à fait faux. Le lendemain à 17 heures, j’entrai dans la bibliothèque, Alfred m’attendait.
— Trixie, si cela ne vous fait rien, pourriez-vous faire un peu de ménage? me dit-il, c’est vraiment poussiéreux ici !
J’acquiesçai et pris le plumeau qu’il me tendit.
Je grimpai tout d’abord sur une chaise, m’étirai pour faire remonter ma robe et montrer mes cuisses.
Comme pour ne rien rater, il s’ assit au centre de la pièce ; je lui tournai le dos. Me mettant à quatre pattes, je passai sous le bureau. Ma robe remonta jusqu’à ma taille, dévoila ma croupe et mes fesses dorées. Je n’avais pas mis de string ni de soutien-gorge, dans la journée, Maxime les avait fait disparaître au boulot. J’écartai les cuisses, il put ainsi apercevoir la fente rose de mon sexe.
Je l’entendis se lever et s’approcher, je déboutonnai les boutons du haut de ma robe. En reculant, je sortis de dessous le bureau. Ses mains relevèrent la robe encore plus haut sur mes reins, glissèrent sous le porte-jarretelles et caressèrent ma taille, il trembla. Il sortit sa vieille bite et à ...
... genoux, essaya de me pénétrer, il la frottait le long de ma fente, tout en écartant le haut de ma robe et fit jaillir mes seins.
— Attendez, attendez... pas si vite Alfred !
Je me dégageai doucement et en me tournant vers lui, je lui présentai mes seins en lui disant de les embrasser, de le mordre, de les téter. Il promena sa bouche humide et tiède sur les rondeurs offertes, mes tétons se dressèrent sous la caresse de sa langue. Je commençai à gémir et me tortiller. Sa barbichette me chatouilla et ça m’excita encore plus. Je sentis son odeur aigrelette et je me dis que j’étais vraiment perverse d’aimer les vieux, alors que je connaissais des étalons avec des bites énormes, noires de surcroît, car la sienne n’était vraiment pas longue ni grosse !!
Il me fit retourner, mettre à quatre pattes. Toujours à genoux derrière moi, ses lèvres se posèrent sur mes fesses, il les écarta doucement. Sa langue se mit à me les lécher. Elle glissa vers mon anus, malgré moi, mes hanches se soulevèrent, mes cuisses s’écartèrent, tel un petit dard, le bout s’insinua dans mon orifice anal, la caresse était très douce, j’adorai ce que me faisait le vieillard :
— Laisse-toi faire, laisse-toi faire... murmura-t-il.
Sa salive coula entre mes fesses jusqu’à mon petit trou qui s’ouvrit et se ferma, attendant autre chose. Avec ses pouces, il en écarta largement l’accès et enfonça sa langue plus profondément, puis deux doigts forcèrent l’entrée de mon anus. Il fit une vingtaine de va-et-vient et ...