1. Nymphomane, moi ? Tome III (18)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... ne déteste pas, n’est ce pas Trixie ?
    
    Il était derrière moi, et sur un signe de tête d’Alfred, il ôta mon déshabillé.
    
    — C’est vrai Victor, répondis-je, je ne déteste pas.
    
    — Oh Putain, c’est pas vrai s’exclama le gros noir, en roulant des yeux étonnés, vous allez vous laisser fouetter ? Devant moi ?
    
    — Eh bien oui, répondis-je, comment l’expliquer. Il faut que ça commence lentement et doucement, d’après mon expérience, puis on augmente en rythme et en intensité, de manière à faire croître l’extase. Imaginez une musique qui débute doucement et lentement, puis s’oriente vers une puissance allant crescendo. C’est quelque chose de ce genre, mais il faut toujours que la douleur reste dans les limites du supportable, et surtout que les coups ne laissent aucune marque sur la peau ! Et ainsi si on se laisse aller, la souffrance peut agir comme une porte donnant sur d’autres dimensions, comme une drogue, elle peut nous emmener dans des endroits où l’on n’a jamais été. C’est une expérience qui peut vraiment faire bouger des choses à l’intérieur de nous, et nous amener jusqu’à la jouissance totale. D’autant que la libido de notre tourmenteur et elle aussi exacerbée, et que le coït qui suit obligatoirement, doit nous faire exploser de volupté. Car c’est bien ainsi que je veux être punie, et Victor est passé maître dans l’art de la flagellation !
    
    — Je vois que ces Messieurs sont aussi excités que moi, Monsieur, voulez-vous que l’on fasse subir à mademoiselle Trixie, cette ...
    ... petite séance de flagellation ? Pourquoi ne pas mettre en pratique ce qu’elle vient de nous expliquer ?
    
    Sans attendre la réponse, il sortit une cravache et une paire de bracelets reliés par une fine chaînette, d’un tiroir.
    
    — Ah oui, dit-il, j’avais oublié le godemiché avec les petites vésicules. Elle devrait l’apprécier en dessert !
    
    Il sortit aussi le dildo. Une boule de plaisir, se forma dans le bas de mon ventre. Je suis vraiment une salope, pensai-je. Ma nuisette complètement transparente, s’arrêtait tout juste un peu plus bas que la ceinture de mon porte-jarretelles. Elle était fermée lâchement par deux rubans, mais laissait voir ma chatte bien rasée, et était retenue par de fines bretelles nouées sur les épaules. Je n’avais pas mis de soutien-gorge, devant Alfred et le gros pousha noir, je dénouai les attaches qui fermaient les fentes du tissu sur mes aréoles les écartai, et offris mes deux globes fermes à leurs regards, puis je pinçai mes mamelons pour les faire durcir. Victor, lui s’extirpa de son pantalon, seulement vêtu de son gilet rayé jaune et noir, il me fixa en souriant avec des yeux gourmands, tenant la cravache d’une main et de l’autre se calottant et décalottant sa monstrueuse bite en érection. Avec son index, il me fit signe d’approcher, j’obéis, il était à deux mètres devant Alfred.
    
    — Si Mademoiselle veut bien me donner son poignet.
    
    Le métal froid se referma avec un clic, cela me fit frissonner. Clac le second bracelet se referma. Il attacha une ...
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