1. Nymphomane, moi ? Tome III (18)


    Datte: 01/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    Alfred venait de s’offrir un superbe cabriolet décapotable à un prix exorbitant ! Fière de l’étrenner, je revenais à faire des courses en ville, il n’était pas loin de midi, le camion de chantier freina devant moi. Mon pied écrasa la pédale de frein, je donnai un coup de volant, cela ne suffit pas, le choc eut lieu. Je descendis, le chauffeur du camion inspectait les dégâts.
    
    — Eh bien je n’ai, rien, vous par contre, votre phare et votre clignotant sont complètement HS. Mais c’est vous qui êtes en tort, vu que vous m’avez percuté par l’arrière ! Allez au revoir ma petite dame, me dit le chauffeur routier.
    
    Il me planta là, remonta dans son camion et partit. Je ne voulus pas appeler Alfred, la voiture était neuve ! Il m’avait fait tout un tas de recommandations, hésitant à me la prêter, il m’avait même parlé d’une punition si seulement je l’éraflais. J’avais acquiescé, je voulais à tout prix l’essayer. Mais, maintenant, il fallait que je me débrouille. Je cherchai un garage sur mon téléphone, coup de chance, il y en avait un à quelques rues d’ici. Je me dirigeai vers ce qui me sembla le paradis des automobilistes en détresse.
    
    Je me garai devant et entrai, une flèche désignait l’accueil, je poussai la porte du réduit. Un noir obèse d’environ soixante-cinq ans était assis derrière un bureau encombré de paperasses. Un jeune homme, noir lui aussi était debout derrière le patron, le gros homme leva les yeux sur moi et continua sa lecture.
    
    — Oui, bonjour asseyez-vous, ...
    ... je suis à vous dans un instant.
    
    Je portai un tailleur très chic de couleur crème, la veste avait un décolleté assez profond et la jupe une fente assez conséquente sur le devant. La chaise sur laquelle il me proposa de m’asseoir avait une propreté somme toute vraiment relative, mais j’obtempérai. Il leva les yeux vers moi. Je ne le trouvai pas avenant, presque désagréable.
    
    — Oui que puis-je pour vous ?
    
    — Je viens de casser mon phare et mon clignotant droit, pourriez-vous s’il vous plaît, me les réparer, maintenant si vous pouviez, je suis assez pressée, vous seriez très gentil !
    
    — Vous avez-vu l’heure ? Il est midi passé.
    
    — Oui... mais...
    
    — Non... non...
    
    Je croisai mes jambes, il aperçut les lanières de mon porte-jarretelles, ma jupe remonta. Alfred désirait que je ne porte ni string, ni soutien-gorge lorsque je sortais en ville, ça l’excitait, disait-il et puis cela pouvait provoquer une aventure érotique et il adorait que je lui la narre avec force de détails.
    
    Je décroisai mes jambes lentement, ses yeux s’écarquillèrent, il avait dû entrapercevoir ma chatte bien rasée. Je me levai et m’approchai de son bureau d’une démarche chaloupée. Un magasine porno s’étalait devant lui. Je me penchai, ma veste bailla, son regard ainsi que celui de l’arpète plongèrent dans l’échancrure, ils aperçurent mes seins libres de toute entrave.
    
    — Alors, ce n’est vraiment pas possible, ma langue passa doucement sur mes lèvres.
    
    — Heuuuu, peut, peut être que si. Je vais ...
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