Nymphomane, moi ? Tome III (18)
Datte: 01/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... fine corde à la chaînette des menottes, grimpa sur une chaise pour faire passer la corde par-dessus une solive du plafond. Son énorme rouleau de chair toujours bien tendu entre ses jambes frêles et ridées. Il tira lentement sur la corde, mes bras se relevèrent au-dessus de ma tête. Cette position avait largement fait remonter ma nuisette jusqu’au niveau de mes hanches. Le bout de son gland rose, était à hauteur de ma bouche, il dépassait à moité de son prépuce. Je le pris entre mes lèvres et le mordillai assez fortement.
— Aie, Voyez Monsieur, elle veut vraiment être punie !! Elle a une chatte superbe, ne trouvez-vous pas Messieurs ?
En disant cela, il passa le bout de la cravache sous la lanière de mon porte-jarretelles à hauteur de mon bas, et le remonta lentement le long de ma cuisse, puis le dirigea vers la fente de mon sexe, et titilla mon clitoris. Le bout de cuir continua son ascension, faisant plusieurs fois le tour de mes aréoles, frôlant les bouts turgescents de mes seins qui pointaient hors de la nuisette. Il dirigea ensuite la claquette sur mes épaules et repoussa les ganses des fines bretelles sur mes épaules à la naissance de mes bras.
— Il va falloir que tu les dénoues avec tes dents, pour que ta nuisette tombe toute seule. Tant qu’elle ne sera pas à tes pieds, je frapperai tes seins et tes mamelons...
Le premier coup tomba, assez fort. Je le regardai en souriant, il frappa l’autre sein. Puis un déluge de petits coups s’abattit à tour de rôle sur ...
... chacun de mes tétons. Ma poitrine se tendit vers la cravache. Mais, au bout d’un moment mes mamelons et mes seins durs comme de la pierre commencèrent à me faire un peu mal. Je réussis avec mes dents à dénouer le nœud de mon épaule gauche.
— Bien, tu aimes ça, hein ?? La morsure de la cravache !
— Oui, j’ai mal. Mais j’aime.
— Alors ne te presse pas ! Pour défaire le nœud !
Le temps que je réussisse à dénouer mon épaule droite, il me sembla que, sous les coups, mes seins avaient doublé de volume. La nuisette tomba sur mes chevilles. Les lèvres du vieux Victor effleurèrent ma chair durcie avant de se refermer sur mes mamelons en érection, il se mit à les téter goulûment et sauvagement, je geignis.
— Salope ! Tu me fais bander ! Ça m’excite de te flageller !
Bien qu’il soit âgé, Victor avait l’art de faire naître la volupté chez moi. Ses dents mordillaient mes tétons turgescents, ses lèvres descendirent sur mon ventre et coururent sur ma peau frémissante. Puis il se recula, le manche de la cravache remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, je me cambrai, jambes à demi ouvertes, fixant langoureusement les deux spectateurs qui bandaient comme des ânes. Le bout de cuir glissa entre mes lèvres humides pour titiller mon clitoris. Puis Victor l’enfonça doucement entre mes parois vaginales après quatre ou cinq allers et retours le manche était abondement recouvert de cyprine. Il s’approcha du gros noir, qui tenait une érection monstrueuse.
— Voulez-vous goûter ...