1. Hot thérapie (1)


    Datte: 29/01/2023, Catégories: Gay Auteur: Petite Chérie, Source: Xstory

    ... déjà en pleine action aussi, quelques filets de sperme sur le visage, sur le torse, le regard béat. Braguettes simplement ouvertes ou pantalons en bas, mais où que je regarde, je ne vois que des bites, des queues.
    
    Enfin, j’y suis.
    
    Je hume, je détaille, j’observe et apprécie, je cherche.
    
    Vais-je trouver ce que j’attends ?
    
    Je fantasme sur une bite à sucer. Pas n’importe laquelle. Une belle queue, qui érigée, dresse sa tête fière, vers le ventre, le gland gonflé, suintant légèrement et cognant sur le bas-ventre à la moindre contraction spasmodique involontaire des abdos, sur les poils fins dressés en ligne sagittale du nombril au pubis.
    
    Mon "happy trail" (sentier heureux) à moi.
    
    Ça m’émoustille, ça m’émeut, ça me rend tout chose un bel organe, ni trop épais, ni trop long (O gué O gué dixit Pierre Perret). Pas besoin d’être une star gay porn non plus (même si y en a des mignons "mhum").
    
    Avec ces confinements répétitifs durant la pandémie, les plateformes et streaming ont explosé leur compteur, et j’ai découvert de beaux sexes et une attraction particulière.
    
    J’aime aussi les poils, ils ont un effet électrisant pour moi, surtout torse contre torse. J’ai horreur des sexes masculins entièrement rasés, le rasé/épilé donne une impression plus imposante, je comprends très bien le côté rassurant de cette perspective, mais juste la broussaille taillée, entretenue me convient.
    
    Des poils oui, mais pas de type Bear. Le physique masculin dans toute sa splendeur, le ...
    ... viril, mais sans laisser-aller quoi.
    
    J’en baverais presque, j’ai le cœur qui palpite, s’accélère...
    
    Je l’ai en ligne de mire.
    
    Elle est là ma queue rêvée. Je l’ai trouvée.
    
    J’avance à nouveau, certains s’écartent, je me faufile et croise des regards interloqués, voire désapprobateurs pour certains, mais surpris en général.
    
    MDR - Ne vous inquiétez pas mes chatons, je ne mords pas.
    
    J’avance lentement mais sûrement vers l’objet de ma convoitise, un sourire en coin aux lèvres. Ma langue, malgré moi, humecte mes lèvres sèches entre envie et gourmandise. Je ne vois rien d’autre au-dessus de son nombril, tout y est un magnifique service trois-pièces avec un joli gland cut écarlate et des poils bruns où il faut sur le ventre, un buisson "ardent" taillé digne du meilleur barbier. Il ne faut pas que je tarde trop.
    
    Oh et cette main, sa main qui glisse de bas en haut, de haut en bas, joue une partition pour une ode au plaisir, s’arrête et reprend la danse avec une légère torsion du poignet de temps en temps. Cette main,rhaaaa cette main, je l’imagine déjà sur moi...
    
    Hop hop on se calme, tu es là pour sucer la queue de tes rêves et non pour caresses et plus si affinités, on procède par étape.
    
    J’avance doucement vers "ma proie". Ne pas l’effrayer, ne pas me précipiter. Ce sexe m’attire, me tente, je salive, je déglutis, je m’approche, le souffle coupé. Je pose enfin ma main, délicatement, sur le bas de son ventre.
    
    Est-ce que j’irai jusqu’au bout ?
    
    Je ne peux ...
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