Le mas
Datte: 28/01/2023,
Catégories:
f,
fh,
médical,
religion,
poilu(e)s,
campagne,
Masturbation
caresses,
pénétratio,
fdanus,
init,
nostalgie,
Humour
voisins,
Auteur: radagast, Source: Revebebe
... qu’un truc bizarre se trame dans mon sein gauche, je me précipite aussitôt chez le médecin du coin, il me faudrait attendre six mois pour avoir un rendez-vous chez le spécialiste.
Le médecin du coin étant malheureusement le lapin chaud.
— Ils sont tels que dans mon souvenir, toujours aussi beaux !
— C’est bien le médecin qui parle ?
— Non, c’est l’ami amoureux. Mais le médecin les apprécie aussi, fermes, sans chirurgie, ils vont te faire de l’usage.
— Idiot, lui dis-je en riant.
Il me palpe les seins, peut-être pas de façon très professionnelle.
— Rassure-toi, il n’y a rien. N’oublie pas de faire un frottis.
— J’ai pris rendez-vous chez le gynéco, six mois d’attente.
— Passe-toi de l’eau froide dessus chaque matin, utilise une crème bio pour entretenir la peau et les maintenir fermes et beaux.
Alors qu’il me dit ça, il passe ses pouces sur mes tétons et me les fait se dresser. Je frissonne sous la caresse, mais je me reprends vite. Je me dégage de ses mains et enfile prestement mon soutien-gorge.
Je suis toute retournée. Il y a bien longtemps qu’un homme ne m’a caressée. Mais je n’ai pas envie que ce soit lui.
Pas même envie d’un homme tout court, ils m’ont trop fait souffrir. Et puis je le vois venir avec ses gros sabots. Il n’a qu’une envie, c’est de me culbuter sur la table d’auscultation. La pauvre Marie-Camille porte déjà assez de bois sur la tête, je me vois mal lui rajouter un andouiller supplémentaire.
oOo
Il y a bien longtemps qu’un ...
... homme ne m’a caressée, me dis-je allongée dans mon bain. Les attouchements de l’autre idiot réveillent de lointains, mais agréables souvenirs.
Les yeux fermés, je laisse mes mains glisser sur mon corps, presser mes seins, imaginer qu’un homme me le fait. Pincer les tétins, les faire rouler sous mes doigts, grossir, se roidir et envoyer des ondes bienfaisantes à travers tout mon corps. Tandis que la gauche caresse toujours ma poitrine, la droite part en reconnaissance sous la mousse, elle trouve mon nombril, puis découvre mon pubis à la pilosité imposante. Je me suis laissé aller ces derniers temps, laissant lavégétation envahir le mont de Vénus ! Mes doigts lissent ces boucles de sauvageonne, s’enhardissent, cherchent mes lèvres sensibles et gonflées, déjà accueillantes grâce à mes caresses. L’index se glisse entre elles, les écarte, vient fouiller mes petites babines et les électrise. Mon majeur s’insinue dans ma grotte sacrée et s’y active. Ma main gauche abandonne mes seins et cherche mon bourgeon, le trouve, l’encercle de caresses, le fait frémir et se dresser alors que mon majeur et mon index s’activent de plus en plus vite, plus profondément un peu plus bas.
Je ferme les yeux, resserre les jambes. L’eau clapote autour de moi, j’ouvre la bouche en un cri muet, l’air me manque. Je tombe dans une petite mort, inerte et abasourdie. Je reviens à moi alors que l’eau se refroidit et que la mousse disparaît.
Depuis combien de temps n’ai-je pas joui, n’ai-je pas ressenti ...