1. Une autre vie commence. (12)


    Datte: 22/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Faunus, Source: Xstory

    ... rond, tes seins plus lourds et tes fesses bien rebondies. Sans oublier ton minou petit et mignon.
    
    — Ha ha ha ! Petit cochon, tu vas devoir patienter. Je te préviens, je ferais tout pour retrouver mon poids et mes formes habituelles.
    
    — J’y compte bien, tu es parfaite comme tu es. Je ne tiens pas à ce que tu changes.
    
    — Oui mon petit chéri. Mais n’oublie pas que moi aussi je vieillis. Bon maintenant monsieur le Directeur, il faut bosser.
    
    Entendre cette répartie le fit rire, Charles se souvient qu’il avait le parapheur en attente. Il occupa les minutes suivantes à prendre connaissance des documents et les signer. Une fois l’opération terminée, il prit le parapheur pour l’apporter à Josiane qui semblait toujours occupée. Habituellement, c’était elle qui se chargeait de ce genre de chose, cela le fit sourire. D’un geste inconscient, il passa sa main sur sa braguette comme pour s’assurer qu’il n’y avait pas de protubérance. Cela le fit rire, il se dit qu’il n’était pas Priape, loin s’en fallait.
    
    — Pourquoi ris-tu ? J’allai venir chercher le parapheur. Je viens de diffuser la note via le réseau interne. À partir de maintenant, les petits sourires en coin et les chuchotements devraient cesser.
    
    — Pour pas grand-chose.
    
    — Allez ! Dis-moi !
    
    — Heu..., c’est à cause d’un geste inconscient, j’ai vérifié l’absence de bosse sur ma braguette.
    
    — C’est pour ça que tu as ri ?
    
    — Oui, parce que je me suis dit que je n’étais pas Priape. Je n’ai jamais la rigidité et la ...
    ... longueur de l’engin de ce dieu.
    
    — Ha ha ha ! Et alors, quelle importance cela pourrait avoir ? Il est normal d’avoir une érection inopinée. Et puis, tu serais bête de t’en faire pour ce genre de truc. Ton oiseau me convient parfaitement. Grâce à lui, nous allons être parents.
    
    Après avoir déposé le parapheur sur le bureau, Charles en souriant se pencha vers elle pour lui déposer un baiser sur les lèvres. Il sentit une main entrer en contact avec son entrejambe. Après une rapide palpation, Josiane le repoussa en riant.
    
    — Il semblerait que ton oiseau soit aux abonnés absents. Je suis inquiète, je vais devoir vérifier s’il n’a pas disparu.
    
    — Ha ha ha ! Mon petit lutin, tu es moqueuse, me semble-t-il. C’est certainement pour cela que je t’aime.
    
    — Mais non ! Il est temps de partir monsieur le Directeur. Je t’aime moi aussi.
    
    Josiane lui prit la main pour l’entraîner hors du bureau après lui avoir mis une tape sur la fesse. Ce geste qui revenait régulièrement le fit sourire. Depuis le début de leur relation, la jeune femme lui claquait les fesses. Geste qui était devenu un rituel. Au début, il avait été surpris et maintenant, cela l’émoustillait. Quelques minutes plus tard, ils étaient installés dans la petite voiture et il regardait sa future femme en souriant. La question ne se posait plus, il se laissait conduire et il ne ressentait plus le besoin d’acheter une berline.
    
    — Pourquoi me dévisages-tu de cette manière ?
    
    — Parce que je t’aime et je me disais qu’en ...