1. Maison d'arrêt (4)


    Datte: 20/01/2023, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... ferait certainement l’affaire. Je me redressai afin de me mettre à genoux sur le lit juste devant la queue de mon homme. Après l’avoir lardée de coups de langue, je la pris en bouche. Philippe me caressait la nuque tandis que ma tête allait et venait en cadence.
    
    — S’il te plaît, reprends mes couilles dans tes mains.
    
    J’obéis avec délicatesse.
    
    — Non, serre-les entre tes doigts.
    
    Je sortis le membre de ma bouche quelques instants.
    
    — Mais je vais te faire mal !
    
    Philippe me regarda droit dans les yeux.
    
    — Si je te confie un secret, tu jures de le garder pour toi ?
    
    — Evidemment.
    
    — En fait, tu m’as trituré les couilles pendant au moins 30 minutes avant que je ne te réveille, et j’ai adoré. C’est juste qu’à la fin, tu commençais à les pincer vraiment trop fort.
    
    — Tu es maso ?
    
    — Un peu. Mais cela doit rester entre nous. Personne ne doit savoir que le boss a ses petites faiblesses. Tu me promets de ne rien dire ?
    
    — Je te le jure. De toute façon, ce ne serait pas dans mon intérêt de trahir ce secret. Il faut que mon homme reste fort et viril aux yeux de tous.
    
    — Je vois qu’en plus d’être belle et sensuelle, tu es aussi intelligente. C’est bien.
    
    Je rougis puis m’approchai de son oreille comme si quelqu’un pouvait nous entendre.
    
    — Tu ferais mieux de mettre quelque chose dans la bouche pour étouffer tes hurlements mon bébé, car j’ai l’intention de te faire payer pour hier soir. Je vais te faire couiner comme une gonzesse !
    
    Sans attendre sa ...
    ... réponse, je me glissai à nouveau sous la couverture, tête-bêche. Je gobai le gland déjà raide et j’attrapai les couilles à deux mains. Tout en pompant et en léchant le membre, j’appuyai sur les boules en les faisant rouler entre mes doigts.
    
    Philippe soufflait bruyamment et émettait des petits cris rauques à chaque fois que la pression s’accentuait. J’appuyais pourtant à peine sur ses petites bouboules. Qu’est-ce que cela aurait été si je les avais serrées de toutes mes forces ?
    
    J’avais terriblement envie de le faire, mais ce n’était pas pensable. "Un jour peut-être", me dis-je avec sadisme.
    
    Philippe se tortillait autant de bonheur que de douleur. Pris par le plaisir que j’éprouvais à contrôler ainsi mon amant, je perdis peu à peu toute retenue. Je m’étais mis à appuyer de plus en plus fort sans même m’en rendre compte.
    
    — Doucement petite garce. Tu me fais mal !
    
    — Comment tu m’as appelée ? Petite garce ! Tiens ça va t’apprendre la politesse.
    
    J’enfonçai l’index dans un de ses testicules. Cette fois-ci, j’étais allée trop loin.
    
    — ARGGH ? Arrête espèce de salope !
    
    Philippe se cabra pour se dégager. Avant que je n’ai le temps de faire quoi que ce soit, une gifle magistrale me projeta violemment contre le lit.
    
    — Je t’ai demandé de me peloter les couilles avec un peu de fermeté, pas de les écrabouiller !
    
    Je me tins la joue, toute penaude.
    
    — Excusez-moi patron, je me suis laissée emporter par,... par mes hormones.
    
    — Tes hormones ! Tu te fous de ma ...
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