1. Maison d'arrêt (4)


    Datte: 20/01/2023, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    Mon sommeil était agité et je bougeais dans tous les sens. Je poussais des petits cris, mes mains s’agrippaient à quelque chose, mais je ne savais pas ce que c’était.
    
    Est-ce que je rêvais ou étais-je à demi conscient ?
    
    Je serais incapable de le dire, mais tous les évènements de la veille repassaient en boucle dans ma tête. Je me revoyais en train de sucer la grosse queue du boss, me maquiller, mettre ma robe, mes talons aiguilles. Je ressentais la douleur quand le gland avait forcé ma rosette puis le plaisir quand il m’avait limé l’anus. Je sentais toujours une présence entre les cuisses et j’avais l’impression d’avoir encore la bite de mon homme dans le cul. Cette douce sensation me fit bander.
    
    J’entendis un grognement puis une voix. Celle de Philippe. J’étais bel et bien éveillée.
    
    — Et doucement, ma belle, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es en train de me broyer les couilles depuis tout à l’heure !
    
    C’est à ce moment que je me rendis compte que je serrais ses boules à pleine main.
    
    — Oh excusez-moi patron, je suis désolée. Je rêvais. Je ne vous ai pas fait trop mal ?
    
    — Non, ce n’est rien. Je ne suis pas une chochotte. Et puis ne me dis pas vous, ça me vieillit. Une petite femme a quand même le droit de tutoyer son homme et de l’appeler par son prénom.
    
    Il ajouta en riant:
    
    — Prendre sa bite dans la bouche et dans le cul lui donne tout de même certaines prérogatives !
    
    Même dite sous le ton de la plaisanterie, cette remarque me rappela que j’étais sa ...
    ... putain. Comment aurais-je pu l’oublier d’ailleurs ? Il me semblait avoir toujours le goût de son sperme en bouche ainsi que sa queue dans l’anus !
    
    Il fallait que je me comporte en bonne fille soumise. Je le pris donc par le cou pour me faire pardonner ma maladresse, mais en bougeant, je sentis une présence entre mes fesses. Non, je n’avais pas rêvé, j’avais bien quelque chose dans le cul. Et ce n’était pas la bite de mon amant vu qu’il était en face de moi.
    
    Philippe vit la surprise sur mon visage et se mit à rire.
    
    — C’est un petit cadeau que je t’ai fait pendant que tu dormais.
    
    — C’est un gode ?
    
    — Non. Ca s’appelle un "Rosebud." C’est une sorte de bijou anal.
    
    — J’aurais préféré une bague. C’est plus romantique.
    
    — Oui peut-être, mais ça, c’est beaucoup plus excitant. Tu t’en rendras compte quand tu marcheras avec. Tu devras serrer les fesses pour ne pas le perdre. Cela te donnera une démarche de.....
    
    — Pute ! Tu trouves que je n’ai pas assez l’air d’une salope comme ça ?
    
    — Non, tu es absolument parfaite. Je voulais dire de femme sexy.
    
    Je ne croyais pas un mot de ses explications foireuses, mais la simple présence de ce "Rosebud" dans le cul me procurait déjà une sensation agréable. Celle-ci serait certainement décuplée quand je marcherais. Philippe ne serait pas le seul à bander quand je tortillerais du cul !
    
    Je repensai tout à coup au service trois pièces du boss que j’avais malmené. Il fallait que je me fasse pardonner. Une bonne pipe au réveil ...
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