1. Maison d'arrêt (4)


    Datte: 20/01/2023, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... pendant plus de 10 minutes, Philippe me remplit les boyaux en hurlant de plaisir. Il reprit le Rosebud et le fourra dans mon anus dès qu’il ressortit sa queue.
    
    — Voilà. Comme ça, tu garderas la semence de ton homme bien au chaud ! dit-il en riant.
    
    — Fais bien attention de ne pas le perdre en marchant. Tu aurais l’air maligne si mon sperme coulait sur tes jambes devant tout le monde !
    
    Cette perspective me fit frémir. Quelle honte ! Tout le monde me prendrait pour la dernière des putes !
    
    Mais n’était-ce pas ce dont j’avais envie au fond de moi ?
    
    Non, je voulais effectivement être la putain du boss, mais pas de cette façon si dégradante. Je me promis donc de serrer les fesses de toutes mes forces. En plus, je me rendis compte en le faisant que cela me procurait du plaisir.
    
    Nous nous douchâmes et nous habillâmes, mais alors que j’étais en train de me remaquiller.
    
    — Dépêche-toi. Tu vas nous mettre en retard pour le petit-déjeuner.
    
    — Oui oui mon chéri. Je fais au plus vite.
    
    Je savais pertinemment que ce n’était qu’un prétexte. En fait, le boss était impatient de montrer à ses hommes comment il avait cassé le cul de sa putain, et de leur annoncer qu’en plus de cela elle sucera leur queue !
    
    Je ne lui en voulais pas. En fait, moi aussi j’en mourais d’envie !
    
    — Voilà, voilà, j’arrive ! Dis-je en prenant une voix de pétasse.
    
    J’enfilai mes escarpins et rejoignis mon homme qui m’attendait devant la cellule. Je constatai avec plaisir qu’il était encore ...
    ... plus fier que la veille de m’avoir à son bras.
    
    Tout en trottinant sur mes talons aiguilles, je serrai les fesses pour ne pas perdre le Rosebud qui bouchait mon anus. Cela me donnait la démarche d’une pouf et je vis que Philippe adorait ça. Pour lui faire plaisir, mais également en raison des sensations que cela me procurait entre les jambes, j’accentuai volontairement mes déhanchements.
    
    C’est donc en tortillant du cul de façon indécente que je me présentai devant les sbires du boss, déjà assis autour de la table.
    
    — Bonjour patron. Alors, la soirée a été bonne ?
    
    — Excellente. Johana a un de ces petits culs...
    
    Philippe mit ses doigts devant les lèvres comme on le fait pour désigner un plat savoureux.
    
    — Sauf votre respect patron. Elle a ramassé grave ?
    
    — Tu ne peux pas savoir à quel point. Je lui ai carrément cassé les pattes !
    
    Ses hommes éclatèrent de rire. Pour confirmer les déclarations de mon protecteur, je pris une voix plaintive.
    
    — Chéri. Tu veux bien que je me m’assieds sur tes genoux ? La chaise est trop dure.
    
    Les rires redoublèrent.
    
    — Mais bien sûr ma biche. Je te dois bien ça !
    
    Je m’assis sous les quolibets et les regards moqueurs, mais je n’en avais que faire. Je savais que tôt ou tard j’arriverais à amadouer le boss, et que ce jour-là je deviendrais leur maîtresse. Au regard noir que l’un d’entre eux me lança, je pense que lui aussi le savait. Pour conforter ses soupçons, je posais une main sur le service trois-pièces de mon homme ...
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