1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1537)


    Datte: 16/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... contre mon cul. Ses coups de boutoir puissants frottant contre ma prostate éveillaient à nouveau mes désirs. Il me possédait physiquement sans ménagement, possédait mon corps qui Lui appartenait, m’utilisait selon Ses seules envies. Marquant cette possession en m’enfonçant Ses ongles dans ma chair de mes hanches, accélérant les va-et-vient, me sodomisant avec vigueur, force, profondeur… J’étais au bord de l’orgasme quand Lui se répandait en moi en plusieurs saccades tout en grognant. Il restait quelques minutes, figé profondément en moi, puis se retirait, me caressait la croupe en me disant :
    
    - Tu es un bon vide-couilles.
    
    Je mis mes mains jointes afin de demander l’autorisation de parler
    
    - Oui ? Quoi ?
    
    - Merci Maitre, oui je suis un bon vide-couilles, Votre vide-couilles.
    
    - Tiens prends ce papier absorbant et essuie toi !
    
    - Maitre ?
    
    - Quoi encore ?
    
    - Suis-je obligé de m’essuyer tout de suite Maître ?
    
    - Pourquoi cette question, salope ?
    
    - Si cela m’est permis, j’aimerai garder un peu de vous tous sur et en moi, Maître, pour montrer que je suis vôtre et que vous pouvez faire de moi tout ce qu’il vous plaira.
    
    - Autorisation accordée !
    
    - Merci Maître. Puis-je me branler Maître ?
    
    - Non.
    
    Un non laconique, sec, sans appel ! Je n’étais pas ici pour jouir mais pour me donner. Je devais donc me résigner et accepter sans protestation, ni révolte cette inéluctable soumission. La frustration faisait partie du dressage, point à la ligne !... ...
    ... J’étais couché en chien de fusil sur cette table basse. Quittant la pièce, ils m’avaient laissé seul, là, nu au milieu de ce salon, avec ces bouquets caractéristiques « d’after-sex », ces effluves de sperme, de sueur et de salive. Ces fumets m’excitaient, je bandais, ma queue était terriblement dure, rigide. Et plus je bandais, plus je cogitais et réfléchissais sur mon inévitable devenir de soumis, dont j’ignorais tout encore ! … Seul Sébastien était revenu. Il s’asseyait face à moi sur le large canapé, bras grand-ouverts posés sur le dossier du sofa, cuisses outrageusement écartées. Ses yeux bleus acier me regardaient avec arrogance. Ses lèvres fines marquaient dédain et mépris. Je ne l’appréciais pas ce type, trop impulsif, trop impétueux, trop irréfléchi, et pourtant il m’envoutait par sa capacité à savoir m’humilier et me rabaisser. Je me remis de suite à quatre pattes sur la table basse…
    
    - Tu n’es que déshonneur et déchéance ! Ai-je tort, salope ?
    
    - Vous avez raison, Monsieur
    
    - Tu es fait pour vivre l’ignominie et l’avanie !
    
    - Oui Monsieur.
    
    - Regarde comme tu ne ressembles à rien, à poil, nu, à quatre pattes sur une table, ton corps simplement souillé de sperme.
    
    - Je ne considère pas vos spermes comme des souillures, Monsieur.
    
    - Tais-toi chienne !, écarte les cuisses, tu dois toujours garder les cuisses écartées.
    
    Je venais de prendre un gros risque en contredisant mon interlocuteur mais je trouvais cette affirmation réellement stupide ! Tellement idiote ...