1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1537)


    Datte: 16/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... au mieux la vallée soyeuse, capiteuse mais aussi goûteuse, située entre coccyx et périnée. Il se soulevait de temps à autre afin que je puisse reprendre mon souffle. Ma langue s’appliquait à lui donner du plaisir, hormis lorsque les deux doigts logés dans mon cul se retiraient pour être aussitôt remplacés par une bite terriblement dure. La préparation anale, bien que longue, n’avait pas été suffisante, le morceau brulant de chair venait de se caler brutalement au fond de mon rectum d’un coup sec. J’en perdais le souffle sous ce fessier colossal ! Pire… ignominie suprême…, un gaz sonore et malodorant s’échappait de ce gros anus coller sous mon nez, des doigts, ceux de Madame Alice, me trituraient mes petits tétons, la noble main du Maître me pétrissait les couilles, et toujours cette queue qui me défonçait !
    
    - Lèche mon cul correctement, t’ai-je ordonné !, ne te préoccupe pas de ce que l’on te fait, concentre-toi sur ce que tu me fais, salope !, s’exclamait Monsieur Jean.
    
    Mon Dieu dans quelles mains étais-je tombé ? Des ignobles Dominants et des réels pervers ! Pourquoi à cet instant, alors que ma langue s’immisçait dans cet anus fétide, je pensais à mes parents ? Avaient-ils idée de ce qu’ils avaient engendré … De là où ils étaient, pouvaient-ils voir que je me réalisais et m’assumais ainsi ? Je l'espérais… Tout juste venais-je de recevoir plusieurs giclées de foutre chaud sur l’abdomen alors qu’on me fessait sans modération, qu’une seconde pine me pénétrait le cul, ...
    ... celle-là plus courte, certes plus épaisse mais plus courte, celle de Monsieur Jean qui venait de quitter mon visage. Il me fouraillait déjà ! Je me faisais démonter, pistonner, à grands coups de boutoir. Madame Alice me tenait les jambes relevées, alors que Monsieur Jean m’enculait sauvagement. Il haletait, soufflait, suait, geignait avant de se dégager de mon trou pour empoigner sa queue qu’il branlait très vite. Il se figeait, retenait son souffle, criait des râles rauques et orgasmiques sous son éjaculation et répandait, par cinq jets violents et saccadés, sa semence chaude sur mon corps endoloris, tout en grognant tel un cerf en rut.
    
    - En levrette salope, dépêche-toi ! A mon tour de te saillir, m’ordonnait le Maitre
    
    Malgré mon épuisement, très vite je me retournais et prenais dans mon antre humide et dilatée, la noble queue de Monsieur le Marquis. Bien qu’irrité et quelque peu douloureux, j’offrais inconditionnellement mon anus, m’empalais sur ce sexe bandé avec empressement et dévouement. Il me laissait aller et venir à ma guise, se contentant de me maintenir par les hanches. Devant les trois autres Dominants me regardant, étonnamment je me sentais à Lui, fier et heureux de le servir, de l’honorer, de Lui donner du plaisir. Au fond de mes entrailles, je sentais cette érection dure comme de la pierre… Au bout d’un certain temps, il reprenait les commandes, Lui seul désormais décidait de me saillir selon un rythme beaucoup plus soutenu. Je sentais Ses testicules battre ...