La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1537)
Datte: 16/01/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1536) -
Chapitre 11 bis : L’anniversaire de Monsieur Jean –
- Où as-tu trouvé cette chienne Edouard ? Regarde-le, il se complet dans la débauche et la perversité sans une once de fierté…
- Tu te trompes Sébastien, ne vois-tu pas comme il est fier de Me satisfaire ? Pas une hésitation, aucun embarras, aucune tergiversation, il vient de s’afficher comme ordonné, sans penser, ni réfléchir en se soumettant strictement à Mes Exigences. Il faut savoir reconnaitre les qualités et les défauts des soumis, savoir les punir lorsqu’ils ont besoin d’être sanctionnés, mais aussi savoir les récompenser lorsqu’il y a lieu.
- En tout cas, c’est un sale chien ! répliquait le jeune blond répondant au nom de Sébastien
- Un conseil Sébastien, si tu veux devenir un bon Maître, soit toujours mesuré et juste. On ne domine pas en méprisant, on domine avec autorité naturel. Met de côté tes pulsions malsaines de méchanceté insultante et met en avant tes pulsions de Dominateur affirmé, juste. Quand tu domines, mon cher Sébastien, tu dois toujours savoir où tu veux emmener ton soumis, dans quelles perversités, savoir ce que tu dois en faire sans lui exprimer du mépris, mais plutôt de l’exigence, de l’intransigeance. Dominer est un Art, ce n’est pas l’expression de ses propres défauts. Tu peux humilier autant que tu le veux mais jamais avec méchanceté, mais plutôt toujours avec ...
... perversité, souvient-toi en toujours, Sébastien
- C’est vrai ce que vous dites mon Cher Edouard !, reprenait Madame Alice.
A ma grande satisfaction, Monsieur le Marquis venait gentiment mais surement de recadrer le jeune Sébastien... Je remarquais la moue sur le visage du jeune homme ! Mais plus encore, j’affichais sur le mien une certaine béatitude, j’étais tellement heureux du contentement du Maitre que j’en oubliais ma posture dégradante. Il me congratulait par une caresse sur mon sexe encore bien dur. Il me branlait, deux rapides allers-retours. Ainsi il m’encourageait et m’exprimait Son plaisir, « quel bonheur ! » me disais-je… Le jeune Sébastien, sans plus un mot, venait de se saisir d’un tube de lubrifiant, en versait une dose généreuse sur ses doigts. D’un mouvement brusque, il enfonçait son index et majeur dans mon intimité. J’émettais un gémissement rauque, pour moitié de souffrance et pour moitié d’excitation, surtout lorsqu’il commençait à me masser la prostate. Il ne disait rien, toujours rien, ses doigts allaient et venaient dans mon fourreau intime et chaud, travaillaient mon muscle anal sans ambages faisant fi de mes grimaces et de mes douces complaintes. Complaintes bien vite étouffées par un monstrueux postérieur, celui de Monsieur Jean, venant de s’assoir sur mon visage.
- Lèche-moi le cul !, m’ordonnait-il
Sans doute de satisfaction, il émettait des bruits bizarres et agitait son fessier d’avant en arrière pour que ma langue en dessous travaille ...