Maggie, Maman et Moi (6)
Datte: 14/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... qu’elle continuait de m’avaler. Je me suis senti totalement à sa merci. C’était bon. Je n’ai pas pu me retenir longtemps, j’ai crié, gémi, pendant que j’éjaculais fortement dans sa bouche. Elle ne s’est pas arrêtée. Elle branlait mon anus avec application, puis avec plus d’énergie, j’étais parcouru de frissons, allait-elle me procurer un autre orgasme, anal, cette fois ? Je dois bien reconnaître que cette putain allait me faire jouir comme cela ne m’était jamais arrivé. Et cela fut fait.
J’ai voulu après cela, m’occuper d’elle. Mais elle m’a surpris en assénant :
— La professionnelle ne jouit pas. Elle donne du plaisir à son client.
J’ai voulu rire, mais elle a continué, presque sentencieuse :
— Je ne te demande pas de me payer, puisque tu l’as fait en nature, avec ces parures. Je crois que cela plaira aux deux hommes qui viennent parfois me visiter. Oui, oui. Tu peux être surpris. Mais je n’ai pas trop le choix. Le repassage et la couture ne me permettent pas d’assumer totalement les dépenses obligées. Alors oui, je complète comme je peux.
Et elle a continué...
— Tu vois, je suis assez menteuse, à mes heures. Je t’ai dit que je n’avais plus de relations sexuelles, et que j’étais une femme honnête et timide. Je sais bien que c’est l’image que je donne. Celle d’une brave femme un peu bêtasse. Je ne suis pas dupe...
J’étais abasourdi. Elle a aussitôt précisé...
— Rassure-toi, mes deux partenaires réguliers utilisent toujours des capotes, même si tu ...
... m’as fait l’amour sans protection, ne t’inquiète pas, je fais régulièrement, - très -, des tests, et je suis saine. Ne t’inquiète pas, mon petit chéri.
Elle a continué, d’un ton plus tendre :
— Si tu as le moindre doute, sache bien, aussi, que j’ai vraiment joui avec toi. Je n’ai pas simulé. Je te le promets. C’était vraiment bon de le faire avec toi. Tu m’as tellement ému, lors de ta première visite, quand tu m’as avoué tes fantasmes de jeune homme. J’ai été sincère.
Elle l’a répété, appuyant sur les mots :
— J’ai vraiment joui avec toi.
J’étais, pour le coup, sacrément bousculé. Naïf que j’étais. Elle s’est allongée à mes côtés, et m’a pris dans ses bras comme pour me consoler de cet aveu tellement surprenant. Elle louait son corps à domicile à deux individus.
— Vous ne prenez pas le risque que cela se sache ? Que d’autres viennent vous malmener ?
— Non, ce sont deux hommes discrets. L’un est mon ancien chef de service, et l’autre son meilleur ami. On fait cela "à la bonne franquette", ils viennent une fois de temps en temps. L’un ou l’autre me téléphone, on prend rendez-vous, et j’essaie de les satisfaire. Au début, ce fut un échange de services. Le Chef m’a aidée à éloigner mon amante, l’ancienne prisonnière, qui m’avait quand même bien malmenée. Il l’a changée d’affectation, mais m’a dit que mon histoire avec elle - j’avais dû lui raconter l’emprise que je subissais. Il avait vite obtenu des détails - l’avait terriblement excitée. Il m’a baisée. Puis ...