1. Maggie, Maman et Moi (6)


    Datte: 14/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: luc_marie92, Source: Xstory

    ... semble-t-il, par le bout du gland, ce qui est toujours mieux que le bout du nez.
    
    Elle est sortie de sa chambre ; une robe de chambre de satin noir avait remplacé le peignoir de bain. Elle s’est positionnée debout face à moi pour se faire admirer. J’ai noté qu’elle avait mis une paire de hauts talons. On s’en doute, ce n’étaient pas des Louboutin. Mais elles avaient une certaine élégance. On devinait sa paire de bas noirs. Et à la cheville droite, j’ai noté une petite chaînette qui la mettait en évidence. Une chaînette qu’elle n’avait pas lors de nos premiers assauts.
    
    Elle a dénoué la ceinture de la robe de chambre. Elle avait finalement enfilé le porte-jarretelles noir à rubans violets, et la culotte assortie. La culotte était petite, sa toison débordait sur l’intérieur de ses cuisses, et même un peu plus haut, quelques duvets montaient vers son nombril. Elle a caressé ses seins, qui n’étaient ni très petits, ni très gros, mais j’étais toujours aussi fasciné par les aréoles brunes, plus larges que celles que j’avais pu admirer chez les femmes qui m’avaient accordé leurs faveurs. Elles n’étaient pas non plus d’une dimension étonnante qui eût rendu les seins difformes. Mais cela donnait à son corps une sorte d’arrogance, puisqu’elle était par ailleurs mince, je pourrais même dire un peu maigre.
    
    Je l’ai admirée. Je lui ai dit qu’elle portait magnifiquement cette parure, elle a souri et, contente :
    
    — Oui. Je trouve aussi. Je veux voir si je te fais de l’effet. ...
    ... Laisse-moi te déboutonner.
    
    Je me suis levé, elle a desserré ma ceinture, baissé mon pantalon, et le caleçon de soie noire que je portais. Elle a vu mon sexe. Déjà bien orienté à la hausse. Elle m’a complimenté.
    
    — Aujourd’hui, tu te laisses faire. C’est moi qui te fais jouir. Viens, Hervé. Viens dans ma chambre à coucher. Allons faire l’amour.
    
    Le lit était fait soigneusement, elle a soulevé, retiré la couette, les deux autres fois, nous avions baisé sur elle. Là, nous nous sommes tous deux allongés sur les draps, dans ce qui avait été jadis, probablement, son lit conjugal. Elle s’est accroupie pour aller jusqu’à ma bite qu’elle s’est mise à sucer. Lentement. Sensuellement. Ma main pouvait juste palper le haut de ses cuisses sur cette petite bande où la peau s’offre autant que le tissu. Tirer sur ses jarretelles...
    
    Elle humidifiait mon gland de sa salive, je l’entendais qui crachotait dessus, c’était très doux, plus tendre, moins sauvage qu’à nos deux premières rencontres. D’une main, elle tenait mes couilles, bien fermement. Comme si elle les soupesait. L’autre main allait doucement sur ma hampe, en rythme avec sa bouche. Progressivement, la main qui tenait mes bourses est venue se glisser entre mes cuisses, elle a griffé mon entrejambe, à la recherche de mes fesses. Elle a griffé l’entrée de mon anus, j’ai deviné qu’elle avait aussi mouillé son doigt, et elle m’a pénétré avec assurance.
    
    Une phalange. Puis l’autre. Bientôt, tout son majeur a fouillé mon cul, pendant ...