Maggie, Maman et Moi (6)
Datte: 14/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
Je fus - après cet épisode - hanté par la perversité des jeux que nous avions partagés lors de cette deuxième rencontre. Ce n’était pas d’avoir sodomisé une sexagénaire qui me perturbait. Non, cela avait été génial. Mais le fait qu’elle m’ait demandé de l’appeler "maman". Je trouvais cela très scabreux, osé, dérangeant. J’adore l’idée que sexe et morale n’aient pas grand-chose à voir ; mais qu’elle m’ait aussi donné le prénom de son fils aîné, en insistant bien, c’était tout de même assez obscène. Moi qui croyais l’entraîner sur une voie sensuelle de débauche, voilà qu’elle avait pris un drôle d’ascendant, d’un coup d’un seul. Comme aurait dit un pro des ressources humaines : "elle a pris le leadership..."
J’avais ensuite essayé de l’épater avec des vidéos de cul, lui montrer des lesbiennes vicieuses qui s’envoyaient en l’air. Mais j’avais vite compris que cela ne l’avait pas tant impressionnée que cela. Probablement, ses épisodes avec la collègue ancienne taularde l’avaient entraînée bien plus loin encore dans la débauche. Cette femme qui se disait "honnête", "pudique", réservée, cachait finement son jeu.
Et puis, troisième tentative, un peu prétentieuse et vaine, de jouer les initiateurs : je lui avais demandé de me faire pipi sur le corps ou le visage, comme un qui en avait l’habitude, alors que ce n’était pas vraiment le cas. Je pensais qu’elle n’oserait pas, ou qu’il faudrait la supplier, comme un sommet de vice, mais elle n’avait pas rechigné, et finalement, ...
... c’est elle qui m’avait autorisé "à la boire". Elle m’avait laissé doigter son cul, bien profond, à tourner en rond mon majeur au plus loin de son intime. Et plus obscène encore, elle avait très bien compris que je touchais son caviar. Et que cela m’excitait. Et c’est elle qui avait fixé la limite, en verbalisant le jeu, "je sais que tu voudrais que je fasse sur toi".
Mais "je ne le ferai pas". "Tu es vilain".
L’idée que je n’avais en réalité plus grand contrôle dans ce début de relation qui tournait vers l’inavouable m’est apparue plus évidente encore lorsque je me suis rendu dans cette boutique de lingeries sexy du quartier Pigalle. Elle voulait que je l’habille comme une pute. Elle me donnait presque sa liste de commissions ! Je me suis convaincu que pour bien me déguiser, il fallait rester dans le classique. Cela devait se jouer entre noir à dentelles roses, ou violettes, ou mauves. Et rouge à dentelles noires. J’ai demandé au vendeur ce qu’il pouvait me proposer dans ce registre, j’ai hésité, et finalement j’ai acheté trois combos culotte et serre-tailles. Je me suis dit que peut-être, cela nous donnerait l’occasion d’essayer ces différentes parures à plusieurs reprises...
N’étais-je pas en train de devenir accro à ces rendez-vous avec une femme que...
Que j’avais connu gamin ! Qui m’avait fait goûter, bols de chocolat chaud, tartines ou BN...
Qui nous avait payé des glaces, à ses garçons et à moi ? Cette femme qui m’avait avoué son désir pour ma propre mère ! ...