1. Déception et confidences


    Datte: 31/08/2018, Catégories: fh, hotel, 69, pénétratio, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... une partie de sa semaine.
    
    — Eh bien… j’ai couché avec André.
    — Ce n’est pas vrai… tu as enfin franchi le mur de Planck ! Alors là, chapeau ! J’ai tout essayé pour coucher avec lui, et nada. Et toi, comme ça, tu le chopes. Je suis contente pour toi. Maintenant, tu n’y coupes pas : tu es obligée de tout me raconter… et dans les détails.
    
    Elle lui raconte à voix basse la piscine, le cunnilingus monstrueux qu’elle a subi, mais aussi le téléphone et la disparition. Cécile boit ses paroles.
    
    — Putain, tu as de la chance !
    — Oui, mais depuis, plus rien. Aucun message sur ma boîte mail ; je lui en ai envoyé deux.
    — Pas sympa, mais tu t’en fous : tu ne veux quand même pas prolonger ta relation, d’autant plus que tu m’as dit qu’il était marié. Bon, j’ai un cours dans dix minutes, je te laisse. Bises, ma chérie !
    
    Elle s’est abrutie de travail tout l’après-midi, et le soir arrivant, elle ferme son bureau quand elle aperçoit André au bout du couloir.
    
    — André !
    
    Il se retourne, lui sourit. Son cœur bat.
    
    — Salut, comment vas-tu ?
    — Tu n’as pas répondu à mes mails, et tu me demandes comment cela va ?
    — Marie, tu es mignonne… Qu’est-ce que tu pensais ? Je suis marié, toi aussi ; on a passé un bon moment, et puis c’est tout.
    
    La fureur monte en elle.
    
    — Alors comme ça, tu me baises, et puis terminé ? Merde, alors ! Je n’attendais pas grand-chose, mais un peu plus de classe.
    — Désolé que tu réagisses ainsi. C’est une règle chez moi : j’essaie de donner un ...
    ... maximum de plaisir à ma partenaire, mais une seule fois.
    
    Il laisse Marie seule dans le couloir dans une colère noire.
    
    Ils sont à table quand Marc franchit le seuil du domicile. Les deux enfants se jettent au cou de leur père ; Marie a droit à un baiser furtif, et « Bonsoir chérie ».
    
    Les enfants couchés, ils se retrouvent devant la télévision et échangent des banalités. Il a posé sa main sur la cuisse de Marie : un message explicite. Couchée sur le côté, elle entend son mari dans la salle de bain, puis le lit s’enfonce et un baiser atterrit dans le cou. Elle se retourne et l’embrasse fougueusement ; va-t-il comprendre le message ? Elle n’a pas de culotte, et elle espère. Rien. Lassée d’attendre, elle se retourne ; une main enfin effleure ses fesses.
    
    — Mais où est ta culotte, petite vilaine ? Tout cela mérite une punition !
    
    Un doigt s’insinue dans les chairs non préparées, et Marie grimace. Heureusement, le corps est une belle machine, et l’index s’enfonce dans le vagin qui commence à s’humidifier. Un deuxième doigt rejoint le premier et maltraite l’entrée de son ventre. Les doigts disparaissent et sont remplacés par un sexe dur. Elle serre les jambes, refuse la pénétration ; il insiste, la saisissant violemment par les hanches et force le passage. Elle ne résiste pas. Il grogne de satisfaction ; mais alors que le gland touche ses grandes lèvres, elle l’agrippe et le serre fort.
    
    — Aïe, non mais, ça ne va pas ! Qu’est-ce qui t’arrive? Si tu ne veux pas, tu peux ...
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