Déception et confidences
Datte: 31/08/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
69,
pénétratio,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... acérée la rend folle ; elle est légère et dessine des arabesques sur toutes les zones sensibles. Elle se cambre et coule abondamment ; son bourreau s’en délecte, il insiste et refait le tour complet de son intimité. Elle n’en peut plus. Elle aimerait qu’il introduise sa langue au plus profond de sa chatte ; oui, avec la frustration, elle pense des mots qu’elle ne prononce jamais. Comme ses gémissements en forme de suppliques n’émeuvent pas son amant, elle change de tactique, saisit le membre et le branle violemment. La réaction surprend son amant ; il enfonce sa langue au plus profond du ventre. Elle crie et jouit rapidement, inondant plus – si c’est possible – le visage d’André. Marie, sous le violent orgasme s’est relevée, emprisonnant le visage de son amant. Les vagues successives continuent de lui arracher des petits cris. André n’a pas joui.
Elle récupère un préservatif sur la table de nuit, habille le membre tendu, le regarde dans les yeux et s’empale. C’est elle qui maintenant mène le bal ; ses muscles intimes massent le sexe et le retiennent dans un fourreau étroit, ils portent son amant au bord du plaisir : les mimiques d’André l’informent du niveau d’excitation. Elle reste bien remplie ; son clitoris en contact avec la peau glabre du pubis de son compagnon provoque des picotements agréables aux creux de ses reins. Variant les angles de pénétration qui déforme son vagin, elle le porte ainsi à la limite de la jouissance plusieurs fois. Elle ne peut le maintenir ...
... plus longtemps : dans un rugissement, il se contracte pour reculer l’inéluctable, puis se détend, poussant sa verge contre la matrice de Marie. Elle aurait aimé sentir le flot de plaisir remplir sa corolle. Elle s’est couchée sur lui et attend que la belle queue qui, il y a quelques instants comblait son ventre, sorte pour la délester de son enveloppe latex. Elle glisse entre ses jambes et goûte les derniers restes de son plaisir.
Un portable vibre, André se lève précipitamment.
— Oui, chérie… Oui, je récupère Zoé … À tout de suite.
— Désolé, le devoir m’appelle.
Il l’embrasse et se dirige vers la douche. Marie reste seule, hébétée, sur le lit.« Il est donc marié… » Elle reste, nue et pensive, regarde sa montre : 15 h 20. Elle se sent idiote, comme un objet sans âme jeté dans le coin d’une pièce. Il sort de la douche. Un autre baiser et il disparaît.
La fin de semaine approche. Ce soir, son mari rentre ; il lui a envoyé un SMS pour l’informer de l’heure du retour. Charmant ! Elle n’a pas revu André à l’université : disparu, inexistant. Pas un mot sur sa boîte mail. Quelqu’un frappe à la porte de son bureau ; Cécile, tout sourire comme d’habitude, passe la tête par l’huis.
— Salut, j’ai cinq minutes. On va se prendre un café ?
— J’arrive !
Attablée dans la cafétéria, Cécile remarque une différence dans l’attitude de son amie.
— Mais, dis-moi, il y a quelque chose de différent en toi. Je te connais bien ; raconte.
Après une petite hésitation, elle raconte ...