Déception et confidences
Datte: 31/08/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
69,
pénétratio,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... Elle ne sait pas combien de temps dure le baiser, mais quand leurs lèvres se séparent, ils sont tous les deux hors d’haleine.
Deux personnes viennent de plonger dans la piscine ; ils se séparent légèrement. Elle le regarde et l’incite à sortir de la piscine ; il résiste.
— Je ne peux pas pour l’instant.
Elle sourit. Ils nagent ensemble ; son corps aussi réclame du calme.
Ils se retrouvent sur le parking. Bien préoccupés, ils se regardent et éclatent de rire.
Le réceptionniste tend la carte de la chambre. Dans l’ascenseur, elle se colle contre lui ; elle n’en peut plus : cette attente depuis la sortie de la salle l’a excitée au plus haut point. La recherche de préservatifs et de la chambre d’hôtel ont été comme des préliminaires.
La chambre est spartiate, et la climatisation crache un air glacé, peu propice. Ils se couchent, et frénétiquement, entre les baisers, ils se dénudent sans ménagement. Aucune douceur dans leurs ébats, juste un besoin de découvrir l’autre. Leurs mains, leurs bouches se maltraitent dans des gémissements conjugués. Ils sont tous les deux dans un état indescriptible. Quand il s’installe et la pénètre, elle noue ses jambes autour de ses reins. L’étreinte est violente et courte ; ils jouissent en même temps.
Marie pose sa tête sur la poitrine d’André, qui caresse le dos de sa compagne. Les endorphines, les nimbes dans un nuage éthéré de douceur… Ils reprennent pied avec la réalité. Elle vient de tromper son mari pour la deuxième fois ...
... en deux jours. Les mains, qui se dirigent vers ses fesses, atteignent la frontière de ses reins ; elle aime cela : il y a si longtemps qu’un homme n’a pas été aussi doux et prévenant. Déjà hier, Georges l’avait comblée, mais son corps demande encore du plaisir, et André le lui donne.
Elle se déplace pour qu’il puisse obtenir une meilleure latitude de mouvements. La douceur de sa main qui se déplace sur la rondeur de mon postérieur provoque un effet violent sur son anatomie qu’elle ne peut maîtriser.« Mon Dieu… Je mouille déjà ! » Elle rapproche encore ses fesses et se cambre. Quand un doigt écarte enfin le sillon fessier et pénètre profondément, elle ne peut s’empêcher d’exhaler doucement. La position qui a permis cette caresse à son amant n’est pas confortable pour Marie. Elle pose un baiser sur sa poitrine. Sa langue s’attarde sur les tétons, puis migre avec lenteur sur l’abdomen ; elle découvre que son pubis et ses bourses sont épilés : elle ne s’en était pas aperçue auparavant. Elle récupère d’un coup de langue le sexe à demi endormi et l’embouche au plus profond de sa gorge. Sous cette l’action, André se raidit, et son sexe gonfle rapidement dans sa bouche. Marie est satisfaite de l’effet qu’elle dispense à son amant.
André, qui pendant la fellation est resté peu entreprenant, reprend l’initiative. Il agrippe son amante par les hanches. Marie l’enjambe. Il faufile ses bras entre les jambes et prend possession de son ventre. Les pouces écartent les chairs. La langue ...