1. Rêve de fille réalisé (2)


    Datte: 31/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: SYL30, Source: Xstory

    ... ni rassurée pour autant. Je me décidais à donner une taille pour le bas, au pif (la mienne, 40) mais pour le haut ?... au vu de ses explications, et mes petites connaissances, j’optais pour du 100 b. Quand Mademoiselle entra, mon corps se mis à trembler, si la vendeuse avait un doute sur la destination de mes achats, elle allait être tout de suite rassurée. Mademoiselle était décidemment sûre d’elle et ne s’encombrait pas de ce que les autres pouvaient penser, elle vînt directement vers moi, naturelle, pour voir ce que j’avais choisi. Naturellement, ça ne lui convenait pas.
    
    Elle a donc choisit un autre ensemble, satiné blanc qu’elle présenta devant moi pour me confirmer la taille, pour le haut, elle était la bonne.
    
    S’il y a eu une conversation entre les deux femmes pendant cet achat, je n’ai rien capté, j’étais complètement déconnecté, un zombi, ce qui l’agaçait prodigieusement et n’a pas hésité à me le faire savoir. Pourtant, l’on s’habitue à tout et le pire peut devenir le meilleur, Quelques semaines plus tard, je faisais ce genre d’achat seul et avec beaucoup de plaisir, je n’hésitais plus à choisir dans les rayons femmes, sans toutefois passer en cabine d’essayage.
    
    Le troisième jour ce fut un sac à main et pour finir, les chaussures, le tout en Allemagne. J’ai tout essayé, sous sa direction mais le pire était aux chaussures, elle parlait la langue mais moi, pas la moins du monde, les rires et les réflexions m’étaient adressés en direct et bien que je ne ...
    ... comprenais pas, j’imaginais facilement de quoi il était question. C’est à partir de ce moment-là, que j’ai commencé à apprécier ces situations. Pour la plus grande satisfaction de Joëlle. Nous sommes repartis munis d’une paire de sandale noire avec un talon à peu près de trois ou quatre centimètres et des ballerines noires également, elle ne voulait pas que ce soit trop grande, à cette époque je mesurais un mètre soixante-treize et elle un mètre soixante-neuf.
    
    Le vendredi, nous ne nous sommes pas vus, car, elle voulait que je me rase complètement, ce n’était pas courant à l’époque mais j’avais la chance de ne pas être vraiment poilu, le menton et la moustache à peine un petit duvet, je ne me rasais pas, les jambes et le torse étaient pratiquement absent de pilosité, de plus, j’étais bien blond.
    
    Enfin, le grand jour arriva, nous avions deux jours devant nous, j’étais tremblant d’émotion. Elle commença par me faire mettre les sous-vêtements, les chaussures, me fit marcher et ce n’était pas simple. Elle m’appris l’art du maquillage, à appliquer le vernis à ongle, le sien, puisque nous l’avions oublié dans nos achats, elle ne manqua pas de m’en faire le reproche. Par la suite, c’est moi qui lui peignerai les ongles des mains et des pieds, je n’étais pas maladroit, qu’est-ce que j’aimais ça ! La jupe ; le chemisier ; les bijoux ; la ceinture ; puis, elle me refit marcher cette fois avec le sac à main essayant d’être la plus féminine possible en évitant la caricature, je devais ...
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