Rêve de fille réalisé (2)
Datte: 31/08/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: SYL30, Source: Xstory
La première recommandation était de lui obéir sans discuter et d’être aux petits soins aussi avec ses amies, ne jamais prendre la parole sans y avoir été invité, finir mes phrases par Mademoiselle comme elle me l’avait déjà précisé et par Mademoiselle ou Madame pour ses amies, dans une discussion ne jamais lever le ton ni d’avoir d’avis tranchés, ne jamais couper la parole, manger et boire doucement, me tenir droite les jambes serrées, qu’elle ne tolérerait aucun manquement à ses ordres. De plus, je devais accueillir ses invitées en faisant une révérence, leur souhaiter la bienvenue, me présenter d’un prénom féminin et les débarrasser de leur sac et manteau.
— Tu sais ce que c’est une révérence au moins ?
— Oui Mademoiselle.
— Montre-moi.
Je m’exécutais, pinçant ma jupe avec deux doigts et fléchissant légèrement les genoux.
Elle riait apparemment satisfaite :
— Eh bien dit-donc, t’es doué ! Et dire que tu es militaire. (Très moqueuse) Répond !
— Oui c’est vrai, mais... quel prénom dois-je donner ?
Pour première réponse, je pris une gifle :
— Tu as la mémoire courte.
— Excusez-moi, Mademoiselle. Quel prénom dois-je donner ?
— Ouais ! Tu te débrouilles.
Aux alentours de midi, la sonnette retentit, mon sang ne fit qu’un tour, limite panique, très angoissé, je me décidais à ouvrir dans la tenue que j’avais revêtue ce matin même. Dès qu’elle me vit, sa réaction trahit un grand étonnement, visiblement, elle n’avait pas été prévenue de ce qu’elle ...
... allait rencontrer. La surprise digérée, elle se mit à rire, accompagnée des commentaires de Joëlle :
— Que penses-tu de ma soubrette ?
— Pas très féminine.
— En plus, elle a oublié mes ordres, viens ici toi, au pied en joignant le geste à la parole. Tu n’as pas oublié quelque chose ?
Là, je pris ma première gifle devant une autre fille un sentiment de honte et de plaisir d’être ainsi traité par ces deux filles se mélangeait. Tout « péteux » je m’exécutais donc.
— Bonjour, je suis (après un bref instant d’hésitation) euh... Sylvie. Elles se mirent à rire à gorge déployée, je ne savais plus où me mettre, contiens du ridicule de la situation.
— Eh bien merci Mademoiselle Sylvie, tout en continuant à rire.
Joëlle - Alors, pas mal hein ! J’aimerais que tu participes à son éducation.
— Avec plaisir, mais je pense qu’il va y avoir du boulot.
— Ne t’inquiète pas, elle sera très obéissante, tu verras. Cette semaine, j’irai faire les boutiques avec elle, elle se sentira mieux dans sa peau. Tu peux venir si tu veux.
— Pour les chaussures, nous irons à Karlsruhe, je connais un magasin pour les grandes.
— En attendant, nous allons nous occuper un peu d’elle, puis je la ramènerai à sa caserne.
— A la caserne, c’est un P FAT (personnel féminin de l’armée de terre) en plus ?
— Eh oui ! Bon toi au lieu de rester figée là comme une gourde, file dans la cuisine joignant le geste à la parole, deux assiettes suffiront. Je n’ai rien entendu.
Moi - A votre ...