Rêve de fille réalisé (2)
Datte: 31/08/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: SYL30, Source: Xstory
... service Mademoiselle.
— Pardon ? Avec la main menaçante.
— Bafouillant ne comprenant pas la raison. Je tentais un timide... Mesdemoiselles tout en me préparant à la sanction.
— Tu commences à comprendre.
A ce moment, Véro se posta droite devant moi, me regardant droit dans les yeux pour faire baisser les miens, provocatrice, certaine de son pouvoir, elle m’écrasait de sa féminité. Elle n’était pas bien grande et pourtant à côté d’elle, je me sentais petit, minable. Cette situation provoqua inévitablement un phénomène qui ne laissait aucun doute sur mon sentiment. Ce genre de provocation, par la suite, j’allais la rencontrer souvent,
— Regarde-moi ça, dit-elle en s’adressant à son amie, on dirait que je lui fais de l’effet à celle-là, vraiment si tu veux en faire une vraie fille, il va falloir trouver une solution.
— C’est vrai mais en même temps, je préfère qu’elle garde ce réflexe, ça la maintiendra sous pression et puis il n’est pas exclu que cela ne me serve (tout en riant).
A partir de cet instant, j’ai subi ce qu’elles appelaient mon dressage en attendant mon éducation la semaine prochaine. Pour commencer, j’avais mon écuelle à terre dans laquelle, elles crachaient les aliments prémâchés. Après midi, j’étais leur toutou, assis, couché, fais le beau, vais chercher. J’ai léché leurs pieds, j’ai encore pris quelques crachats sur le visage et dans la bouche et quelques gifles occasionnelles.
Malgré tout ça, je n’ai jamais ressenti de réelle ...
... méchanceté ou d’agressivité, elles riaient, s’amusaient beaucoup, j’étais leur jouet, voilà tout. Il faut avouer aussi qu’elles avaient devant les yeux, la preuve que j’aimais plutôt ça. Je n’avais jamais pensé à ce genre d’épreuves sans me rebiffer mais l’évidence était là, je ne le pouvais pas être trop content de leur faire plaisir.
Assez tard le soir, elle me frappa sur les fesses et dit : « Allez, va te changer ou reste comme cela si tu veux on te ramène ». Pendant le chemin du retour, j’étais assis à l’arrière, elles discutaient entre elles sans plus se préoccuper de moi. Une fois arrivées, Joëlle m’a simplement averti, légèrement menaçante, que maintenant, elle savait où me trouver, me recommanda de l’appeler tous les soirs et ne pas oublier notre rendez-vous de mardi. Véro toujours hilare me salua d’un :
— A bientôt, ma petite Sylvie et d’un clin d’œil inquiétant !
A partir de ce jour, j’étais heureux, soulagé, je n’étais plus seul, j’étais libéré. Je pouvais respirer.
Les jours suivants, j’étais sur un petit nuage, enfin quelqu’un savait qui j’étais ! Moi qui, habituellement, aime boire un coup, je n’en éprouvais plus le besoin au grand étonnement des copains, qui me charriaient sur mon amour récent. C’était vrai, j’avais trouvé la femme dont je rêvais. De plus, mon corps allait revêtir les vêtements conformes à mon esprit et elle allait faire de moi la personne dont j’ai toujours rêvé.
Le moment que j’attendais avec impatience, mais un peu de crainte aussi, ...