1. Torrides souvenirs d'été (1)


    Datte: 03/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Curieux12, Source: Xstory

    ... véritablement étourdissant et je dus faire beaucoup d’efforts pour ne pas ejaculer sur place.
    
    A la vue de leurs grosses poitrines, je ne pus résister d’embrasser leurs énormes mamelles et de mettre ma tête bien au milieu. Doris me lança :
    
    — Alors ma petite cochonne, tu t’es bien régalé le cul avec Robert ? Nous aussi, on aurait tellement aimé se prendre sa grosse bite dans le cul ! On était un peu jalouses de toi ! Alors je crois qu’on va aussi devoir te donner une fesser et te punir.
    
    Et elles s’assirent l’une à côté de l’autre, me prirent sur leurs genoux et commencèrent à me fesser ensemble. Après la déculottée de Robert, voilà qu’elles s’y mettaient aussi ! Mon cul était tout rouge et commençait vraiment à me faire mal et brûler mais elles avaient l’air de bien s’amuser. Au bout de quelques minutes, elles arrêtèrent et j’eus du mal à me relever. Mais Doris me regardait en riant et me dit :
    
    — J’ai envie de faire caca.
    
    Josiane renchérit :
    
    — Moi aussi !
    
    Elles m’obligèrent à les suivre aux toilettes de la chambre à quatre pattes et les regarder faire caca. J’entendais des plouf entrecoupés de gros pets odorants et tonitruants jusqu’à ce qu’elles aient terminé. Je dus regarder et sentir leurs crottes, tirer la chasse et nettoyer les wc avec la brosse.
    
    — Comme tu peux le voir, on n’a pas utilisé le papier toilette, c’est ta langue qui va nous laver le cul.
    
    Alors, elles m’emmenèrent à nouveau vers le ...
    ... lit et se mirent à quatre pattes devant moi, le cul bien dressé vers l’arrière et me donnèrent l’ordre de leur lécher l’anus pour bien les nettoyer avec ma langue. Je devais les rendre bien propres et même dans leurs poils, il ne devait plus subsister la moindre trace de caca. Je pris mon affaire au sérieux et mis tout mon cœur à l’ouvrage. Pendant que je les léchais, elles lâchaient régulièrement de gros pets car elles savaient que j’adorais les sentir au plus profond d’elles mêmes. Snifer leurs pets était délicieusement aphrodisiaque !
    
    Puis quand ce fut terminé, elles s’assirent à tour de rôle sur mon visage, l’écrasant avec leurs gros culs, frottant bien leurs chattes et leur anus contre mon nez et ma bouche, pétant encore pour que je les sente bien. J’avais perdu la notion du temps tellement j’étais bien, sur un nuage. Puis enfin, elles me demandèrent de les enculer tout en leur caressant la chatte. Ma bite sur le point d’exploser, rentrait dans leurs culs comme dans du beurre et quand je lâchai la sauce, on poussa des cris d’animaux avant de nous écrouler sur le lit, enlacés, pour s’endormir, épuisés mais heureux. Avant de tomber dans les bras de Morphée, je savais que ce n’était que le début de nos folles aventures et que jusqu’à la fin des grandes vacances, je passerai tout mon temps dans ce café, à rencontrer d’autres femmes et hommes et jouer à de nouveaux jeux en poussant toujours plus loin les limites du possible. 
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