1. Torrides souvenirs d'été (1)


    Datte: 03/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Curieux12, Source: Xstory

    ... les deux.
    
    J’avançais vers elles, le sexe bien tendu sous leur regard insistant et taquin. Doris examina rapidement mes mensurations puis fouilla dans sa garde robe. Quelques instants plus tard elle me tendit minijupe, culotte rose, bas noirs, jarretelles et porte-jarretelles assortis, chaussures à talon de dix centimètres, à ma taille, soutien-gorge rose, bustier translucide et perruque rose.
    
    Elles décidèrent finalement de ne pas me donner de culotte pour mieux exposer mon cul. Elles m’aidèrent à me vêtir ce qui déclencha à nouveau une furieuse erection qui s’ajoutait encore à l’excitation que je ressentais de porter ces vêtements féminins. J’enfilais les chaussures à talons en dernier puis me levai pour les essayer, marcher et me regarder dans la glace. J’avais l’air d’une magnifique petite salope perchée sur mes haut talons qui me donnaient une belle démarche féminine. La mini-bien serrée arrivait à la base de mes fesses et laissait entrevoir leur naissance au pli des cuisses.
    
    Quand je me baissais, mon cul était à moitié découvert. La jupe était aussi trop courte pour cacher ma bite et mes boules. Mon zob qui ne débandait plus formait une belle bosse sous le cuir noir de la jupe et mes boules bien pleines, pendaient de manière obscène. La perruque rose me donnait un air de petite pute et mes traits masculins étaient très atténués. Doris et Josiane m’admiraient en y allant de leurs commentaires salaces, se sentant fortes à deux contre un. Elles avait oublié un ...
    ... détail majeur : le maquillage. Fond de teint, rouge à lèvres pétant, rissil, far à paupière, j’eus droit à la totale et mon visage était transformé.
    
    J’étais devenue une bonne petite cochonne prête à l’emploi, un garage à bites pour vide couilles. Elles m’aspergèrent encore abondamment d’un parfum bon marché qu’affectionnait particulièrement Robert lorsque ses conquêtes le portaient et qui avait le pouvoir de l’exciter tel un taureau face à la « muleta » rouge. Elles me baptisèrent « Fabienne, la chienne » et me prirent par la main chacune d’un côté pour m’accompagner dans la chambre où se trouvait Robert. Arrivés devant la porte chacune m’embrassa sur la bouche pour me donner du courage. A peine entrée dans la pièce elle me présentèrent.
    
    CHAPITRE SIX : GRANDS FRISSONS D’UN GENRE NOUVEAU
    
    Robert était la debout contre le mur la bite bien raide à la main en train de se branler.
    
    Quand il me vit, une vive lueur lubrique anima ses yeux et il banda encore plus fort.
    
    Il s’avança vers moi et me lança « met toi à genoux et suce moi, petite salope ».
    
    Je m’executai. Je m’agenouillai devant lui et approchait mon visage de sa grosse pine gonflée de sang. Je pris son gland entre mes lèvres puis avalai complètement son gros chibre.
    
    Ce gros porc ne sentais pas bon. Il puait la transpiration et sa bite avait un goût rance d’urine séchée.
    
    Peu importe j’étais tellement excité que j’engloutis avec avidité sa grosse pine et le suçais de plus belle, accélérant la cadence, ...
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