Torrides souvenirs d'été (1)
Datte: 03/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Curieux12, Source: Xstory
... classique, escarpins plats, chemisier serré, pantalon classique très moulant mettant bien en valeur son généreux postérieur. En périodes d’affluence, Rachel et Lulu, deux serveuses lui prêtaient main forte.
Dès le premier soir, je ne pouvais m’empêcher de mater le gros derrière de Doris. Mon regard était irrésistiblement attiré par ce gros popotin qu’elle agitait innocemment ou non, au gré de ses allées et venues en salle. Cette femme de plus de 30 ans mon ainée me procurait de vigoureuses érections.
La fois suivante, je fis la connaissance de Rachel et Lulu qui étaient venues à la rescousse le soir du 13 juillet. Elles étaient toutes les deux grandes et fortes. Rachel, 40 ans, en jean moulant et chemisier, arborait fièrement son gros cul. Lulu, la bonne cinquantaine, grande et forte, était toujours en tenue classique de serveuse, chaussures noires, jupe noire, chemisier blanc, tablier blanc en dentelle.
De belles clientes étaient aussi assises au bar et cédaient au bagout de Robert qui ne perdait pas une occasion de les faire succomber à son magnétisme a****l.
Je me sentais vraiment dans mon élément dans cette ambiance conviviale à admirer ces belles femmes aux magnifiques courbures qui m’excitaient de façon torride. Quand cela devenait insoutenable, j’allais me soulager dans les toilettes mais 10 minutes plus tard, j’avais de nouveau une grosse érection. J’observais leur incessant ballet d’allées et venues entre les tables et le bar à servir, débarrasser et ...
... accessoirement se faire draguer par les clients dont certains avaient même les mains baladeuses. Je ne ratais pas une occasion de les croiser, engager la conversation et essayer de les faire rire un peu, les encourageant lors de ces rush inhabituels. J’en profitais au passage pour pouvoir effleurer leurs seins et leurs derrières en prétextant toujours une excuse de pure forme qui ne devait pas être très convaincante.
On restait souvent jusqu’à la fermeture où l’on se sentait plus disponible pour bavarder un peu.
CHAPITRE TROIS : VERTIGES DANS LES TOILETTES
Le lendemain matin, vers 11 heures, je décidai de me rendre dans mon café préféré pour le voir sous un autre jour. Je revenais d’un jogging et portait un caleçon noir bien moulant ainsi qu’un tee shirt serré et court.
Dès mon arrivée, Robert me gratifia d’un salut tonitruant et amical. J’eus droit à un sourire de la patronne également. Le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la taulière ! Elle portait ce jour une mini-mettant bien en évidence son fessier rebondi et ses grosses cuisses. Elle était aussi revêtue d’un haut en résille qui laissait entrevoir son énorme soutien-gorge et sa belle peau blanche et grasse. Son haut très court s’arrêtait au-dessus de son nombril piercé, arborant fièrement ses nombreux bourrelets sexy.
Après avoir posé mes affaires et m’être installé à une table, je me rendis aux toilettes.
A peine devant l’urinoir, la porte s’ouvrit et Robert entra avec force fracas. Après une ...